Les travaux de l’atelier de clôture du projet dénommé «vulnérabilité et résilience au paludisme et aux bilharzioses des franges nord et sud de la bande sahélienne dans un contexte de changements climatiques», ont été clôturés, mercredi, à la faculté de médecine de l’université Al Asriya de Nouakchott.
A cette occasion, la secrétaire générale du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Dr Aissata Daouda Diallo, a indiqué que ce projet regroupe des chercheurs de l’Université de Nouakchott Al Asriya (UNA) et du Centre Suisse de Recherches Scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS) qui utilisent ensemble l’approche écosanté pour comprendre et analyser les complexités socio-écologiques, économiques et sanitaires dans les villes de Kaédi (Mauritanie) et Korhogo (Côte d’Ivoire), en s’appuyant sur une analyse systémique transdisciplinaire en vue de développer des outils et des stratégies adaptées à la résilience des effets aggravants du changement climatique sur la transmission des deux pathologies.
Elle a rappelé que le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a toujours œuvré pour la promotion de la recherche afin d’accompagner le développement socioéconomique du pays, conformément aux vœux du Président de la République son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz que le gouvernement du Premier ministre Monsieur Yahya Ould Hademine s’emploie à mettre en oeuvre.
Pour sa part, le Président de l’Université de Nouakchott Al Asriya, Pr Ahmedou Ould Hawba, a salué les résultats obtenus par le projet qui a fait de la ville de Kaédi un terrain pour la recherche scientifique.
Il a dit que l’université est disposée à accompagner et à appuyer ce genre d’importants projets scientifiques opérant dans le domaine de la recherche scientifique.
De son côté, le doyen de la faculté de médecine, Dr Dadda Ould Lebchir, a souligné que le paludisme et les bilharzioses affectent environ 400 millions de personnes dans le monde, dont la majorité est en Afrique au sud du Sahara et font des milliers de morts chaque année d’où la nécessité de multiplier les efforts et d’accentuer la recherche pour améliorer la résilience des populations et mieux lutter contre ces affections parasitaires, en les abordant dans leur complexité socio-économique sanitaire et dans le contexte du changement climatique.
Le président du projet en Mauritanie, Dr Sid’Ahmed Ould Dahdy, a indiqué, quant à lui, que ce projet est une étude scientifique élaborée au niveau de Kaédi et de Korhogo pour cerner les changements climatiques dans ces deux villes au cours des saisons hivernale et estivale habituellement propices à la recrudescence de ces maladies.
La cérémonie de clôture de cet atelier s’est déroulée en présence du hakem de la moughataa de kaédi, du maire de sa commune, d’un représentant de l’OMS et de plusieurs autres personnalités.
source AMI
A cette occasion, la secrétaire générale du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Dr Aissata Daouda Diallo, a indiqué que ce projet regroupe des chercheurs de l’Université de Nouakchott Al Asriya (UNA) et du Centre Suisse de Recherches Scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS) qui utilisent ensemble l’approche écosanté pour comprendre et analyser les complexités socio-écologiques, économiques et sanitaires dans les villes de Kaédi (Mauritanie) et Korhogo (Côte d’Ivoire), en s’appuyant sur une analyse systémique transdisciplinaire en vue de développer des outils et des stratégies adaptées à la résilience des effets aggravants du changement climatique sur la transmission des deux pathologies.
Elle a rappelé que le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a toujours œuvré pour la promotion de la recherche afin d’accompagner le développement socioéconomique du pays, conformément aux vœux du Président de la République son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz que le gouvernement du Premier ministre Monsieur Yahya Ould Hademine s’emploie à mettre en oeuvre.
Pour sa part, le Président de l’Université de Nouakchott Al Asriya, Pr Ahmedou Ould Hawba, a salué les résultats obtenus par le projet qui a fait de la ville de Kaédi un terrain pour la recherche scientifique.
Il a dit que l’université est disposée à accompagner et à appuyer ce genre d’importants projets scientifiques opérant dans le domaine de la recherche scientifique.
De son côté, le doyen de la faculté de médecine, Dr Dadda Ould Lebchir, a souligné que le paludisme et les bilharzioses affectent environ 400 millions de personnes dans le monde, dont la majorité est en Afrique au sud du Sahara et font des milliers de morts chaque année d’où la nécessité de multiplier les efforts et d’accentuer la recherche pour améliorer la résilience des populations et mieux lutter contre ces affections parasitaires, en les abordant dans leur complexité socio-économique sanitaire et dans le contexte du changement climatique.
Le président du projet en Mauritanie, Dr Sid’Ahmed Ould Dahdy, a indiqué, quant à lui, que ce projet est une étude scientifique élaborée au niveau de Kaédi et de Korhogo pour cerner les changements climatiques dans ces deux villes au cours des saisons hivernale et estivale habituellement propices à la recrudescence de ces maladies.
La cérémonie de clôture de cet atelier s’est déroulée en présence du hakem de la moughataa de kaédi, du maire de sa commune, d’un représentant de l’OMS et de plusieurs autres personnalités.
source AMI