La décision de la cour suprême de renvoi définitif de l’ex-président Ould Abdel Aziz devant une cour anti-corruption constitue un dernier palier judiciaire et risque d’être un tournant dans l’affaire de l’ex-président Mohamed Ould Abdel Aziz.
Poursuivi pour une pléthore de chefs d’accusation, l’ancien président continue de clamer son innocence et son harcèlement par le régime en place qui bloque ses activités de mobilisation comme ce fut le cas samedi à Rosso, sud du pays. Un droit inaliénable crient ses avocats se fondant sur les garanties constitutionnelles dans ce domaine. Ils disent craindre, par ailleurs, un procès inéquitable pour leur client.
Mais cette présentation est rejetée du revers de la main par le ministère de l’intérieur qui prétend que l’ancien président tente de «politiser » son affaire pour donner l’impression d’être harcelé par le pouvoir.
Mohamed Ould Abdel Aziz, ancien président (2009-2019) a assuré une transition démocratique qui a permis à son dauphin l’actuel président Ghazouani de se faire élire pour un premier mandat.
ladepche.mre
Poursuivi pour une pléthore de chefs d’accusation, l’ancien président continue de clamer son innocence et son harcèlement par le régime en place qui bloque ses activités de mobilisation comme ce fut le cas samedi à Rosso, sud du pays. Un droit inaliénable crient ses avocats se fondant sur les garanties constitutionnelles dans ce domaine. Ils disent craindre, par ailleurs, un procès inéquitable pour leur client.
Mais cette présentation est rejetée du revers de la main par le ministère de l’intérieur qui prétend que l’ancien président tente de «politiser » son affaire pour donner l’impression d’être harcelé par le pouvoir.
Mohamed Ould Abdel Aziz, ancien président (2009-2019) a assuré une transition démocratique qui a permis à son dauphin l’actuel président Ghazouani de se faire élire pour un premier mandat.
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