Le procès de l’ex-président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz et ses dix coinculpés a repris lundi devant le tribunal spécialisé dans les crimes de corruption.
Les deux premières semaines des audiences ont été marquées par les exceptions et irrégularités soulevées par la défenses de l’ex-président
La défense a qualifié "d’illégale" l’arrestation de leur client à la veille du procès et estimé que le tribunal "n’est pas compétent" pour juger Ould Abdel Aziz qui "bénéficie d’une immunité présidentielle".
Jeudi, la justice a rejeté la requête des avocats de l’ex-président qui demandait sa mise en liberté provisoire
alakhbar
Les deux premières semaines des audiences ont été marquées par les exceptions et irrégularités soulevées par la défenses de l’ex-président
La défense a qualifié "d’illégale" l’arrestation de leur client à la veille du procès et estimé que le tribunal "n’est pas compétent" pour juger Ould Abdel Aziz qui "bénéficie d’une immunité présidentielle".
Jeudi, la justice a rejeté la requête des avocats de l’ex-président qui demandait sa mise en liberté provisoire
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