Déjà assez mal en point avec une fortune que lui-même a qualifiée d’immense et dont il doit prouver l’origine lors de son procès qui a commencé le 25 janvier, Ould Abdel Aziz voit un nouveau front s’ouvrir devant lui. Et il ne sera pas le seul dans ce cas. Certains de ses compagnons sont, en effet, concernés par ce nouveau développement. La SNIM, sa fondation, la Zone franche de Nouadhibou et la Somelec, qui avaient été mises à sac lors de la décennie de la gabegie avec la complicité de leurs dirigeants, réclament les montants qui leur ont été détournés.
A titre d’exemple, la Somelec avait attribué plusieurs marchés de complaisance à des proches d’Aziz et la Fondation Snim avait financé la construction du ranch de l’ancien président à Benichab ainsi que ses branchements d’eau et d’électricité. Le tout évalué à près d’un milliard d’ouguiyas. La zone franche de Nouadhibou avait été elle aussi mise à contribution en lui attribuant des dizaines de terrains sans aucun respect pour les procédures.
Ces sociétés se disent prêtes à engager des avocats et à fournir toutes les preuves nécessaires pour étayer leurs demandes.
lecalame
A titre d’exemple, la Somelec avait attribué plusieurs marchés de complaisance à des proches d’Aziz et la Fondation Snim avait financé la construction du ranch de l’ancien président à Benichab ainsi que ses branchements d’eau et d’électricité. Le tout évalué à près d’un milliard d’ouguiyas. La zone franche de Nouadhibou avait été elle aussi mise à contribution en lui attribuant des dizaines de terrains sans aucun respect pour les procédures.
Ces sociétés se disent prêtes à engager des avocats et à fournir toutes les preuves nécessaires pour étayer leurs demandes.
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