Des professionnels du secteur des pêches tirent la sonnette d'alarme sur la surexploitation de certaines espèces comme la langouste rose et surtout la sardinalle ronde.
Selon ces sources, les stocks de ces deux espèces sont entrain de dangereusement dimuniés eu égard aux captures constatées. Pour ces professionnels de la pêche artisanale, en dépit des avertissements des conclusions des chercheurs de l'Imrop (institut mauritanien des recherches océanographiques et des pêches), les autorités notamment le ministre des pêches au courant de ces conclusions font la source oreille.
Les mêmes sources indiquent que la surexploitation est liée aux captures importantes et notamment pour faire tourner les usines de farine de poissons (sardinelle).
A Nouadhibou, il existe aujourd'hui plus d'une quarantaine d'usines dédiées à écrabouiller le poisson pour en faire de la farine. Elles ont besoin de 5 tonnes de petits pélagiques pour produire une tonne de farine destinée à l'exportation. Les opérateurs sont essentiellement turcs et chinois.
source mauriweb.info
Selon ces sources, les stocks de ces deux espèces sont entrain de dangereusement dimuniés eu égard aux captures constatées. Pour ces professionnels de la pêche artisanale, en dépit des avertissements des conclusions des chercheurs de l'Imrop (institut mauritanien des recherches océanographiques et des pêches), les autorités notamment le ministre des pêches au courant de ces conclusions font la source oreille.
Les mêmes sources indiquent que la surexploitation est liée aux captures importantes et notamment pour faire tourner les usines de farine de poissons (sardinelle).
A Nouadhibou, il existe aujourd'hui plus d'une quarantaine d'usines dédiées à écrabouiller le poisson pour en faire de la farine. Elles ont besoin de 5 tonnes de petits pélagiques pour produire une tonne de farine destinée à l'exportation. Les opérateurs sont essentiellement turcs et chinois.
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