Un atelier sur les statistiques de la migration, organisé conjointement par le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et l'Union africaine (UA), a été lancé lundi matin à Nouakchott, au profit des directeurs de l'état-civil des États membres de l'UA.
Cet atelier de deux jours a pour objectif d’informer les parties concernées des derniers développements en matière de migration et de mettre en place un mécanisme de coopération et d’intégration entre les pays de l’Union africaine et divers partenaires dans ce domaine afin de surmonter les difficultés relatives au phénomène de la migration.
Dans un discours qu’il a prononcé à cette occasion, M. Taleb Ould Mahjoub, directeur général adjoint de l'Office national de la statistique (ONS), a souligné l'importance de cet atelier pour la Mauritanie et les autres pays de l'Union africaine, compte tenu des problèmes économiques, sociaux et de sécurité causés par la migration dans toutes les communautés.
Il a mentionné le rôle de premier plan joué par la Mauritanie dans le traitement de la question des migrations aux niveaux régional et international, en collaborant avec toutes les parties afin de traiter les migrants de manière à respecter leur situation et leurs droits.
Pour sa part, le directeur des Affaires économiques de l'Union africaine, Dr Kouassi, a exprimé les remerciements et la gratitude de l'Union pour la Mauritanie d'avoir accueilli les travaux de cet atelier organisé en coopération avec le HCR à l'intention des directeurs d’état-civil des États membres de l’Union.
Il a ajouté que l'ampleur du problème et les répercussions qui en résultent aux niveaux africain et mondial nécessitent un traitement collectif et sérieux pour empêcher le développement et s'attaquer fermement à la cause principale du phénomène, à savoir les problèmes économiques et sociaux que les migrants vivent dans leurs pays d'origine.
Il a rappelé les rapports publiés depuis 2005 par la Commission de l'Union africaine, rapports dont l'objectif est de permettre à la communauté internationale de s'attaquer de manière radicale au problème de la migration.
Quant à Mme Laura Loungarotti, représentante de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), elle a exprimé ses remerciements à la Mauritanie et à l'Union africaine pour leur coopération approfondie dans le domaine de la migration.
« Malgré les mesures prises aux niveaux local, régional et international à cet égard, la question de la migration a continué de s'imposer à tous, et le nombre de migrants a continué de croître de manière constante, à la fois sur le continent et à travers le monde entier », a-elle déclaré.
Elle a souligné que la plupart des pays ont déployé de grands efforts et ont, jusqu'à présent, reçu une assistance pour leur permettre de faire face au phénomène et de réduire ses impacts négatifs sur les équilibres économique, social et sécuritaire.
source AMI
Cet atelier de deux jours a pour objectif d’informer les parties concernées des derniers développements en matière de migration et de mettre en place un mécanisme de coopération et d’intégration entre les pays de l’Union africaine et divers partenaires dans ce domaine afin de surmonter les difficultés relatives au phénomène de la migration.
Dans un discours qu’il a prononcé à cette occasion, M. Taleb Ould Mahjoub, directeur général adjoint de l'Office national de la statistique (ONS), a souligné l'importance de cet atelier pour la Mauritanie et les autres pays de l'Union africaine, compte tenu des problèmes économiques, sociaux et de sécurité causés par la migration dans toutes les communautés.
Il a mentionné le rôle de premier plan joué par la Mauritanie dans le traitement de la question des migrations aux niveaux régional et international, en collaborant avec toutes les parties afin de traiter les migrants de manière à respecter leur situation et leurs droits.
Pour sa part, le directeur des Affaires économiques de l'Union africaine, Dr Kouassi, a exprimé les remerciements et la gratitude de l'Union pour la Mauritanie d'avoir accueilli les travaux de cet atelier organisé en coopération avec le HCR à l'intention des directeurs d’état-civil des États membres de l’Union.
Il a ajouté que l'ampleur du problème et les répercussions qui en résultent aux niveaux africain et mondial nécessitent un traitement collectif et sérieux pour empêcher le développement et s'attaquer fermement à la cause principale du phénomène, à savoir les problèmes économiques et sociaux que les migrants vivent dans leurs pays d'origine.
Il a rappelé les rapports publiés depuis 2005 par la Commission de l'Union africaine, rapports dont l'objectif est de permettre à la communauté internationale de s'attaquer de manière radicale au problème de la migration.
Quant à Mme Laura Loungarotti, représentante de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), elle a exprimé ses remerciements à la Mauritanie et à l'Union africaine pour leur coopération approfondie dans le domaine de la migration.
« Malgré les mesures prises aux niveaux local, régional et international à cet égard, la question de la migration a continué de s'imposer à tous, et le nombre de migrants a continué de croître de manière constante, à la fois sur le continent et à travers le monde entier », a-elle déclaré.
Elle a souligné que la plupart des pays ont déployé de grands efforts et ont, jusqu'à présent, reçu une assistance pour leur permettre de faire face au phénomène et de réduire ses impacts négatifs sur les équilibres économique, social et sécuritaire.
source AMI