Notre pays a commémoré ce dimanche la Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture autour de la réflexion : "Les conditions carcérales et droits des personnes privées de liberté en Mauritanie".
Le président du mécanisme national de prévention de la torture, M. Bekkaye Ould Abdelmalek, a souligné, dans une allocution prononcée à cette occasion, que la dignité humaine en général et le principe de l'inviolabilité de la personne contre les atteintes physiques et psychologiques, en particulier constitue un principe universel inconditionnel et principalement pour notre Sainte religion l’Islam.
Il a ajouté que partant du principe d'indépendance juridique dont jouit le mécanisme national de prévention de la torture, celui-ci œuvrera au renforcement et au maintien du système des droits de l'homme en Mauritanie en général et des droits des prisonniers et des personnes privées de liberté en particulier.
Pour sa part, le président de la commission nationale des droits de l'homme, Me Ahmed Salem Ould Bouhoubeni, a précisé que la commission est un organe efficace et utile pour définir les politiques publiques dans le domaine des droits de l'homme, car il façonne et éclaire l'opinion publique, notamment en ce qui concerne à l'interdiction de la torture.
Il a ajouté que la Mauritanie a reconnu le crime de torture comme un crime contre l'humanité, a adopté une loi spéciale contre la torture et mis en place le mécanisme national de prévention de la torture.
Pour sa part, le Coordonnateur par intérim des Nations Unies en Mauritanie, M. Marc Lucet, a indiqué que la torture est un crime au regard du droit international.
Il a souligné que cette journée est l’occasion de faire appel à toutes les parties prenantes, y compris les Etats membres de l’ONU , la société civile et les individus à travers le monde pour s’unir et soutenir les centaines de milliers de personnes qui ont été (ou sont encore) victimes de la torture.
La cérémonie de commémoration s'est déroulée en présence du ministre de la Justice, du Commissaire aux Droits de l'Homme, à l'Action Humanitaire et aux Relations avec la Société Civile, du président de la Haute Autorité de la Presse et de l'Audiovisuel et de la Présidente de l'Observatoire National des Droits des Femmes et des filles.
AMI
Le président du mécanisme national de prévention de la torture, M. Bekkaye Ould Abdelmalek, a souligné, dans une allocution prononcée à cette occasion, que la dignité humaine en général et le principe de l'inviolabilité de la personne contre les atteintes physiques et psychologiques, en particulier constitue un principe universel inconditionnel et principalement pour notre Sainte religion l’Islam.
Il a ajouté que partant du principe d'indépendance juridique dont jouit le mécanisme national de prévention de la torture, celui-ci œuvrera au renforcement et au maintien du système des droits de l'homme en Mauritanie en général et des droits des prisonniers et des personnes privées de liberté en particulier.
Pour sa part, le président de la commission nationale des droits de l'homme, Me Ahmed Salem Ould Bouhoubeni, a précisé que la commission est un organe efficace et utile pour définir les politiques publiques dans le domaine des droits de l'homme, car il façonne et éclaire l'opinion publique, notamment en ce qui concerne à l'interdiction de la torture.
Il a ajouté que la Mauritanie a reconnu le crime de torture comme un crime contre l'humanité, a adopté une loi spéciale contre la torture et mis en place le mécanisme national de prévention de la torture.
Pour sa part, le Coordonnateur par intérim des Nations Unies en Mauritanie, M. Marc Lucet, a indiqué que la torture est un crime au regard du droit international.
Il a souligné que cette journée est l’occasion de faire appel à toutes les parties prenantes, y compris les Etats membres de l’ONU , la société civile et les individus à travers le monde pour s’unir et soutenir les centaines de milliers de personnes qui ont été (ou sont encore) victimes de la torture.
La cérémonie de commémoration s'est déroulée en présence du ministre de la Justice, du Commissaire aux Droits de l'Homme, à l'Action Humanitaire et aux Relations avec la Société Civile, du président de la Haute Autorité de la Presse et de l'Audiovisuel et de la Présidente de l'Observatoire National des Droits des Femmes et des filles.
AMI