Les lampions se sont éteints sur la 7e édition du Festival des villes anciennes qui se tenaient, cette année à Tichit (Tagant). La cérémonie de clôture a été présidée, ce 7 décembre, dans la cité historique par le ministre de la culture et de l’artisanat, porte-parole du gouvernement, Dr Mohamed Lemine Ould Cheikh, maître d’œuvre de cet événement culturel et artistique.
D’intenses et diverses activités ont marqué cette 7e édition, lesquelles activités qui ont permis, aux nombreux festivaliers, de revisiter l’ensemble des facettes de la culture mauritanienne, à travers des soirées artistiques, folkloriques, des exposés débats, des expositions de produits artisanaux, des visites de sites de mémoire de la ville etc.
Placé sous le patronage du président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, le Festival des villes anciennes a pour objectif de redonner à nos cités historiques leur lustre d’antan de foyers culturels, de rencontres et d’échanges, d’une part, de les sortir de l’oubli et de l’isolement, en leur dotant d’infrastructures de bases.
Le coup d’envoi des activités du festival, a été donné par le président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, en présence des membres du gouvernement, des ambassadeurs accrédités en Mauritanie, des représentants d’organisations internationales et d’autres personnalités venues de toutes les régions du pays et de l’étranger.
Dans son discours d’ouverture, le ministre de la culture, de l’artisanat, maître d’œuvre de l’évènement, Dr. Mohamed LemineOuld Cheikh, porte-parole du gouvernement, a déclaré que c’est grâce au président de la République que nos villes anciennes, fortement menacées par l’enclavement, le manque d’infrastructures de base ont été protégées et sécurisées.
Le porte-parole du gouvernement a ensuite rappelé les différents efforts déployés par les pouvoirs publics pour doter ces villes d’infrastructures de base, dans tous les secteurs, sans oublier de rappeler les nombreuses réalisations du président de la République, sa volonté politique et son engagement constant de faire de la Mauritanie un pays émergent.
Parmi les nombreux actes forts du festival, on a noté d’importantes conférences- débats portant sur l’histoire de la résistance contre la colonisation française, un thème cher au président de la République, note le porte-parole du gouvernement.
En effet, c’est depuis les ruines de l’ancienne ville de Rachid, détruite le 16 août 1908 par des canons français, et aujourd’hui capitale de la Commune de Wahaatt, Moughatta de Tidjikja que le président de la République avait lancé, le 16 novembre 2016, un appel aux scientifiques et intellectuels mauritaniens à s’atteler librement à la réécriture de l’Histoire de la résistance nationale et de l’histoire en général.
Dans ce cadre, des historiens mauritaniens ont traité devant les festivaliers, les actes de résistance posés dans les différentes Wilaya du pays.
Pour l’évènement, le ministère de la culture a mis les petits plats dans les grands. Son patron était sur tous les fronts. En plus de sa présence à toutes les soirées, aux différents ateliers, le porte-parole du gouvernement s’est rendu sur les sites de mémoire de la ville et sur le site archéologique d’Aghreijitt, situé à quelques kilomètres, à l’est de Tichit.
Parlant de Tichit justement, le ministre de la culture et de l’artisanat n’a pas manqué de vanter ses nombreuses mérites, l’hospitalité de ses habitants et son riche patrimoine matériel et immatériel. En dépit de son enclavement, la cité des Macina et des Chorfa a réussi à relever le défi, en brillant de mille feux et en rompant, une semaine durant, son silence habituel. Les lampions se sont éteints ; rendez-vous est pris dans 4 ans.
Par BBK
source tawary.com
D’intenses et diverses activités ont marqué cette 7e édition, lesquelles activités qui ont permis, aux nombreux festivaliers, de revisiter l’ensemble des facettes de la culture mauritanienne, à travers des soirées artistiques, folkloriques, des exposés débats, des expositions de produits artisanaux, des visites de sites de mémoire de la ville etc.
Placé sous le patronage du président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, le Festival des villes anciennes a pour objectif de redonner à nos cités historiques leur lustre d’antan de foyers culturels, de rencontres et d’échanges, d’une part, de les sortir de l’oubli et de l’isolement, en leur dotant d’infrastructures de bases.
Le coup d’envoi des activités du festival, a été donné par le président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, en présence des membres du gouvernement, des ambassadeurs accrédités en Mauritanie, des représentants d’organisations internationales et d’autres personnalités venues de toutes les régions du pays et de l’étranger.
Dans son discours d’ouverture, le ministre de la culture, de l’artisanat, maître d’œuvre de l’évènement, Dr. Mohamed LemineOuld Cheikh, porte-parole du gouvernement, a déclaré que c’est grâce au président de la République que nos villes anciennes, fortement menacées par l’enclavement, le manque d’infrastructures de base ont été protégées et sécurisées.
Le porte-parole du gouvernement a ensuite rappelé les différents efforts déployés par les pouvoirs publics pour doter ces villes d’infrastructures de base, dans tous les secteurs, sans oublier de rappeler les nombreuses réalisations du président de la République, sa volonté politique et son engagement constant de faire de la Mauritanie un pays émergent.
Parmi les nombreux actes forts du festival, on a noté d’importantes conférences- débats portant sur l’histoire de la résistance contre la colonisation française, un thème cher au président de la République, note le porte-parole du gouvernement.
En effet, c’est depuis les ruines de l’ancienne ville de Rachid, détruite le 16 août 1908 par des canons français, et aujourd’hui capitale de la Commune de Wahaatt, Moughatta de Tidjikja que le président de la République avait lancé, le 16 novembre 2016, un appel aux scientifiques et intellectuels mauritaniens à s’atteler librement à la réécriture de l’Histoire de la résistance nationale et de l’histoire en général.
Dans ce cadre, des historiens mauritaniens ont traité devant les festivaliers, les actes de résistance posés dans les différentes Wilaya du pays.
Pour l’évènement, le ministère de la culture a mis les petits plats dans les grands. Son patron était sur tous les fronts. En plus de sa présence à toutes les soirées, aux différents ateliers, le porte-parole du gouvernement s’est rendu sur les sites de mémoire de la ville et sur le site archéologique d’Aghreijitt, situé à quelques kilomètres, à l’est de Tichit.
Parlant de Tichit justement, le ministre de la culture et de l’artisanat n’a pas manqué de vanter ses nombreuses mérites, l’hospitalité de ses habitants et son riche patrimoine matériel et immatériel. En dépit de son enclavement, la cité des Macina et des Chorfa a réussi à relever le défi, en brillant de mille feux et en rompant, une semaine durant, son silence habituel. Les lampions se sont éteints ; rendez-vous est pris dans 4 ans.
Par BBK
source tawary.com