Milan, capitale de la Lombardie, région italienne la plus touchée par le coronavirus, a commencé à préparer ses métros à la levée progressive du confinement à partir du 4 mai, pour tenter d'y faire respecter les distances de sécurité.
Respecter cette distance d'un mètre sera un aspect crucial de la phase 2. "Milan veut redémarrer avec la prudence requise", a expliqué lundi le maire de la capitale lombarde, Giuseppe Sala.
Milan, capitale de la Lombardie, région italienne la plus touchée par le coronavirus, a commencé à préparer ses métros à la levée progressive du confinement à partir du 4 mai, pour tenter d'y faire respecter les distances de sécurité.
Respecter cette distance d'un mètre sera un aspect crucial de la phase 2. "Milan veut redémarrer avec la prudence requise", a expliqué lundi le maire de la capitale lombarde, Giuseppe Sala.
La ville doit "adapter essentiellement ses transports, qui représentent pour moi une grande préoccupation", a-t-il expliqué.
A bord des wagons, où le port du masque sera obligatoire, des emplacements prédéfinis sont signalés par des autocollants rouges collés au sol où sont dessinés en blanc une paire d'empreintes de pieds, accompagnés d'une légende en italien ("Stai qui") et en anglais ("Stand here"): "Mettez-vous ici".
Nombre de places assises sont supprimées pour respecter la distance de sécurité, ce qui aboutit à diviser par deux, voire par quatre dans certains cas, le nombre de passagers transportés dans chaque rame.
A bord des wagons, où le port du masque sera obligatoire, des emplacements prédéfinis sont signalés par des autocollants rouges collés au sol où sont dessinés en blanc une paire d'empreintes de pieds, accompagnés d'une légende en italien ("Stai qui") et en anglais ("Stand here"): "Mettez-vous ici".
Nombre de places assises sont supprimées pour respecter la distance de sécurité, ce qui aboutit à diviser par deux, voire par quatre dans certains cas, le nombre de passagers transportés dans chaque rame.
L'Association regroupant les groupes de transports publics de la péninsule (Asstra) a averti que la limitation du nombre de passagers ne suffirait pas: il faudra aussi faire respecter les distances de sécurité sur les quais, notamment en installant des tourniquets pour limiter le nombre de personnes pouvant y accéder simultanément.
Nombre de places assises sont supprimées pour respecter la distance de sécurité, ce qui aboutit à diviser par deux, voire par quatre dans certains cas, le nombre de passagers transportés dans chaque rame.
L'Association regroupant les groupes de transports publics de la péninsule (Asstra) a averti que la limitation du nombre de passagers ne suffirait pas: il faudra aussi faire respecter les distances de sécurité sur les quais, notamment en installant des tourniquets pour limiter le nombre de personnes pouvant y accéder simultanément.
Autre suggestion de l'Asstra pour éviter l'affluence aux heures de pointe: le développement du télétravail et les horaires décalés.