Le Syndicat des Journalistes Mauritaniens (SJM) a hautement apprécié, au cours d’une conférence de presse tenue mercredi à Nouakchott comment le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouni a réagi à la plate- forme revendicative présentée par le syndicat au cours de l’audience qu’il lui a accordée récemment.
Le président du SMJ, M. Mohamed Salem Ould Dah a mis en relief l’attention particulière que le Président de la république a accordée au bureau exécutif lors de l’audience et à la plate-forme qu’il lui a présentée, soulignant l’atmosphère cordiale qui a prévalu au cours de cette rencontre ainsi que la disponibilité d’interagir avec la vision du syndicat par rapport à la réforme du secteur de la presse qu’il s’agisse de la presse publique ou de la presse privée.
Il a déclaré avoir perçu chez le Président beaucoup de disponibilité commandant à tous les acteurs du secteur d’œuvrer dans les plus brefs délais à mettre au point une vision globale afin de parvenir à la réforme souhaitée.
M. Ould Dah a rappelé que le syndicat a présenté au cours de cette audience une plateforme comportant les revendications les plus urgentes des journalistes dont la mise en place d’un conseil supérieur de la presse et la mise en œuvre des recommandations issues des journées de concertation de 2016 qui ont fait l’unanimité des journalistes en plus de l’attribution de la carte de presse uniformisée conformément à la loi avec y compris les avantages y afférents.
Il a été également question de la nécessité de réviser les rémunérations des journalistes du secteur public, de payer les augmentations de 50% et de 10% et de les porter sur le salaire en plus de l’application des statuts de l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI) pour préserver les droits des journalistes opérant dans cette institution et exécuter les décisions judiciaires rendues au profit de certains collègues de la profession.
Le syndicat a demandé la titularisation des collaborateurs extérieurs suivant leur ancienneté et leur compétence dans les entreprises publiques de presse et l’implication du syndicat dans le processus de recrutement, l’augmentation du plafond du Fonds d’appui public à la presse et la révision de la loi le créant, la levée de la tutelle et la création d’une commission où sont représentés les journalistes pour le superviser, tout en assurant la représentation des parties techniques intéressées.
Le SJM a appelé à la mise en place d’un Institut pour la formation des journalistes et l’amélioration de son expertise, la redynamisation des structures en charge de la publicité entres autres.
Le président du syndicat a réaffirmé que le Président de la République, a décliné son entière, disponibilité de mettre en œuvre toutes les dispositions de la plate-forme revendicative des journalistes et de s’atteler, en commun, à relever le niveau de la presse nationale pour la rendre plus crédible et plus professionnelle et permettre qu’elle joue le rôle qui est le sien dans la construction de l’Etat.
AMI
Le président du SMJ, M. Mohamed Salem Ould Dah a mis en relief l’attention particulière que le Président de la république a accordée au bureau exécutif lors de l’audience et à la plate-forme qu’il lui a présentée, soulignant l’atmosphère cordiale qui a prévalu au cours de cette rencontre ainsi que la disponibilité d’interagir avec la vision du syndicat par rapport à la réforme du secteur de la presse qu’il s’agisse de la presse publique ou de la presse privée.
Il a déclaré avoir perçu chez le Président beaucoup de disponibilité commandant à tous les acteurs du secteur d’œuvrer dans les plus brefs délais à mettre au point une vision globale afin de parvenir à la réforme souhaitée.
M. Ould Dah a rappelé que le syndicat a présenté au cours de cette audience une plateforme comportant les revendications les plus urgentes des journalistes dont la mise en place d’un conseil supérieur de la presse et la mise en œuvre des recommandations issues des journées de concertation de 2016 qui ont fait l’unanimité des journalistes en plus de l’attribution de la carte de presse uniformisée conformément à la loi avec y compris les avantages y afférents.
Il a été également question de la nécessité de réviser les rémunérations des journalistes du secteur public, de payer les augmentations de 50% et de 10% et de les porter sur le salaire en plus de l’application des statuts de l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI) pour préserver les droits des journalistes opérant dans cette institution et exécuter les décisions judiciaires rendues au profit de certains collègues de la profession.
Le syndicat a demandé la titularisation des collaborateurs extérieurs suivant leur ancienneté et leur compétence dans les entreprises publiques de presse et l’implication du syndicat dans le processus de recrutement, l’augmentation du plafond du Fonds d’appui public à la presse et la révision de la loi le créant, la levée de la tutelle et la création d’une commission où sont représentés les journalistes pour le superviser, tout en assurant la représentation des parties techniques intéressées.
Le SJM a appelé à la mise en place d’un Institut pour la formation des journalistes et l’amélioration de son expertise, la redynamisation des structures en charge de la publicité entres autres.
Le président du syndicat a réaffirmé que le Président de la République, a décliné son entière, disponibilité de mettre en œuvre toutes les dispositions de la plate-forme revendicative des journalistes et de s’atteler, en commun, à relever le niveau de la presse nationale pour la rendre plus crédible et plus professionnelle et permettre qu’elle joue le rôle qui est le sien dans la construction de l’Etat.
AMI