Le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz a affirmé au cours d'une conférence de presse tenue jeudi soir au palais présidentiel à Nouakchott que le peuple mauritanien a prouvé sa maturité et sa liberté de choix durant les dernières échéances législatives, régionales et municipales à travers la grande participation qu'ont connue ces échéances et celles qui les ont précédées à l'occasion des amendements constitutionnels.
Le Président de la République a remercié la presse écrite et audiovisuelle pour le rôle qu'elle a joué en vue de rapprocher les programmes des candidats des citoyens, ce qui a grandement influé sur la participation à ces échéances les premières de leur genre du point de vue participation depuis 2009.
Le Président de la République a aussi remercié le peuple mauritanien pour avoir renouvelé sa confiance à la majorité présidentielle constituée des partis soutenant ce processus et cette voie dans laquelle est engagé le gouvernement de même que les forces armées et de sécurité qui veillent sur la sécurité des citoyens pour le rôle qu'elles ont joué en vue d'assurer l'organisation de ces élections dans un climat de quiétude, de stabilité et de sécurité.
Il a ajouté que le taux de participation qui a dépassé au premier tour le seuil de 70% reflète la maturité du peuple mauritanien et son attachement aux réalisations accomplies dans le pays durant la dernière décennie. Ces résultats ont aussi constitué, a-t-il dit, d'autre part, une validation de ce que nous entreprenons et envisageons.
En ce qui concerne les allégations du parti Tewassoul sur la fraude dans les élections, le Président de la République a indiqué que la fraude n’est pas l’apanage de l’Union pour la République et que les preuves existent quant à la commission par l’autre partie de transgressions de ce genre.
Il a ajouté que la majorité qui a obtenu 120 députés sur 157 sièges dispose d’une majorité confortable permettant au gouvernement dès le 1er octobre prochain de faire adopter n’importe quel projet qu’elle juge approprié.
Il a souligné que dans la constitution mauritanienne actuelle, il n’existe aucun article qui interdit au Président de la République ou aux membres du gouvernement de soutenir un parti politique ou de d’œuvrer pour le parti auquel ils sont affiliés en vue d’obtenir une majorité parlementaire ou de remporter une bataille électorale, s’étonnant l’implication de ceux qui clament la démocratie derrière cette campagne sans fondement et basse.
Il a indiqué que les fonds qui ont été dépensés au cours de la campagne électorale ne font pas partie des deniers publics, mais qu’il s’agit de dons de volontaires qui ont soutenu en toute liberté l’union pour la République et qu’il n’y a aucune volonté d’utiliser des fonds publics dans ces élections.
Dans sa réponse sur l’entrée à l’Assemblée nationale d’extrémistes et de racistes, le Président de la République a indiqué qu’il y existe une majorité confortable dans cette assemblée et dans les conseils régionaux et municipaux et qu’une simple comparaison de la représentativité des partis de la majorité hors UPR équivaut à la représentativité de toute l’opposition. Il a dit que l’ascension de certains partis extrémistes résulte de la démission des partis traditionnels du fait l’égoïsme de leurs leaders qui ne veulent que la Présidence, faisant fi des intérêts de leurs membres et adhérents.
Il a ajouté que de telles orientations ont abouti malheureusement à l’isolement des militants et des programmes éclairés de ces partis.
Le Président de la République a souligné que les résultats des dernières élections sont un message clair du peuple mauritanien contre l’extrémisme, le racisme et le communautarisme.
Il a dit que les malheurs qu’a connus le monde arabe remontent à l’occupation de la Palestine, mais que ces malheurs ont pris de l’ampleur avec l’utilisation de la religion à des fins politiques conduisant les pays arabes à la destruction et à l’échec tout en mettant Israël dans une situation confortable sans efforts.
Il a ajouté que la Mauritanie n’est pas laïque et ne le sera pas, mais nous n’accepterons jamais l’utilisation de la religion au profit de l’extrémisme politique car la religion islamique appartient au peuple mauritanien dans toutes ses composantes et non pas pour une partie en particulier.
Il a indiqué que la responsabilité de la marginalisation des partis traditionnels incombe à leurs dirigeants qui ont refusé le dialogue malgré le report à maintes reprises des élections en vue de leur permettre d’y participer. Et voilà qu’ils y participent aujourd’hui sans que personne ne le leur demande récoltant le résultat que leur a donné le peuple mauritanien.
Le Président de la République a appelé les leaders de la minorité à ne pas parler au nom du peuple mauritanien car ils ne sont pas dans une situation qui leur permet cela, car seuls ceux qui ont obtenu une majorité confortable lors des dernières élections sont aptes à parler au nom du peuple qui leur a donné sa confiance.
Le Président de la République a réfuté l’implication de l’administration dans l’opération électorale car elle n’est pas concernée par l’organisation et la supervision des élections, ni par l’impression des bulletins de votes, ni par leur distribution, affirmant que tout cela est du ressort de la Commission électorale nationale indépendante qui est présidée par un leader connu de l’opposition.
Le Président de la République a appelé de tenir éloigner les forces armées et de sécurité des tiraillements politiques eu égard la noblesse de leur rôle dans la défense de l’intégrité territoriale du pays et d’assurer stabilité et sécurité aux citoyens où qu’ils se trouvent.
La conférence de presse s'est déroulée en présence du Premier ministre, M. Yahya Ould Hademine, de la Première dame, Mme Mariem Mint Ahmed dite Tekber, du ministre secrétaire général de la Présidence de la République, du président de l'Union pour la République, des membres du gouvernement, du directeur de cabinet du Président de la République et d'un certain nombre de représentants de partis de la majorité représentés au parlement.
A suivre ...
source AMI
Le Président de la République a remercié la presse écrite et audiovisuelle pour le rôle qu'elle a joué en vue de rapprocher les programmes des candidats des citoyens, ce qui a grandement influé sur la participation à ces échéances les premières de leur genre du point de vue participation depuis 2009.
Le Président de la République a aussi remercié le peuple mauritanien pour avoir renouvelé sa confiance à la majorité présidentielle constituée des partis soutenant ce processus et cette voie dans laquelle est engagé le gouvernement de même que les forces armées et de sécurité qui veillent sur la sécurité des citoyens pour le rôle qu'elles ont joué en vue d'assurer l'organisation de ces élections dans un climat de quiétude, de stabilité et de sécurité.
Il a ajouté que le taux de participation qui a dépassé au premier tour le seuil de 70% reflète la maturité du peuple mauritanien et son attachement aux réalisations accomplies dans le pays durant la dernière décennie. Ces résultats ont aussi constitué, a-t-il dit, d'autre part, une validation de ce que nous entreprenons et envisageons.
En ce qui concerne les allégations du parti Tewassoul sur la fraude dans les élections, le Président de la République a indiqué que la fraude n’est pas l’apanage de l’Union pour la République et que les preuves existent quant à la commission par l’autre partie de transgressions de ce genre.
Il a ajouté que la majorité qui a obtenu 120 députés sur 157 sièges dispose d’une majorité confortable permettant au gouvernement dès le 1er octobre prochain de faire adopter n’importe quel projet qu’elle juge approprié.
Il a souligné que dans la constitution mauritanienne actuelle, il n’existe aucun article qui interdit au Président de la République ou aux membres du gouvernement de soutenir un parti politique ou de d’œuvrer pour le parti auquel ils sont affiliés en vue d’obtenir une majorité parlementaire ou de remporter une bataille électorale, s’étonnant l’implication de ceux qui clament la démocratie derrière cette campagne sans fondement et basse.
Il a indiqué que les fonds qui ont été dépensés au cours de la campagne électorale ne font pas partie des deniers publics, mais qu’il s’agit de dons de volontaires qui ont soutenu en toute liberté l’union pour la République et qu’il n’y a aucune volonté d’utiliser des fonds publics dans ces élections.
Dans sa réponse sur l’entrée à l’Assemblée nationale d’extrémistes et de racistes, le Président de la République a indiqué qu’il y existe une majorité confortable dans cette assemblée et dans les conseils régionaux et municipaux et qu’une simple comparaison de la représentativité des partis de la majorité hors UPR équivaut à la représentativité de toute l’opposition. Il a dit que l’ascension de certains partis extrémistes résulte de la démission des partis traditionnels du fait l’égoïsme de leurs leaders qui ne veulent que la Présidence, faisant fi des intérêts de leurs membres et adhérents.
Il a ajouté que de telles orientations ont abouti malheureusement à l’isolement des militants et des programmes éclairés de ces partis.
Le Président de la République a souligné que les résultats des dernières élections sont un message clair du peuple mauritanien contre l’extrémisme, le racisme et le communautarisme.
Il a dit que les malheurs qu’a connus le monde arabe remontent à l’occupation de la Palestine, mais que ces malheurs ont pris de l’ampleur avec l’utilisation de la religion à des fins politiques conduisant les pays arabes à la destruction et à l’échec tout en mettant Israël dans une situation confortable sans efforts.
Il a ajouté que la Mauritanie n’est pas laïque et ne le sera pas, mais nous n’accepterons jamais l’utilisation de la religion au profit de l’extrémisme politique car la religion islamique appartient au peuple mauritanien dans toutes ses composantes et non pas pour une partie en particulier.
Il a indiqué que la responsabilité de la marginalisation des partis traditionnels incombe à leurs dirigeants qui ont refusé le dialogue malgré le report à maintes reprises des élections en vue de leur permettre d’y participer. Et voilà qu’ils y participent aujourd’hui sans que personne ne le leur demande récoltant le résultat que leur a donné le peuple mauritanien.
Le Président de la République a appelé les leaders de la minorité à ne pas parler au nom du peuple mauritanien car ils ne sont pas dans une situation qui leur permet cela, car seuls ceux qui ont obtenu une majorité confortable lors des dernières élections sont aptes à parler au nom du peuple qui leur a donné sa confiance.
Le Président de la République a réfuté l’implication de l’administration dans l’opération électorale car elle n’est pas concernée par l’organisation et la supervision des élections, ni par l’impression des bulletins de votes, ni par leur distribution, affirmant que tout cela est du ressort de la Commission électorale nationale indépendante qui est présidée par un leader connu de l’opposition.
Le Président de la République a appelé de tenir éloigner les forces armées et de sécurité des tiraillements politiques eu égard la noblesse de leur rôle dans la défense de l’intégrité territoriale du pays et d’assurer stabilité et sécurité aux citoyens où qu’ils se trouvent.
La conférence de presse s'est déroulée en présence du Premier ministre, M. Yahya Ould Hademine, de la Première dame, Mme Mariem Mint Ahmed dite Tekber, du ministre secrétaire général de la Présidence de la République, du président de l'Union pour la République, des membres du gouvernement, du directeur de cabinet du Président de la République et d'un certain nombre de représentants de partis de la majorité représentés au parlement.
A suivre ...
source AMI