La famille de Vieux est-elle en danger ?
La famille de Abdallahi Matalla Saleck dit Vieux est-elle en danger? Selon les proches du militant de IRA Mauritanie, qui vient de boucler en compagnie de Moussa Biram dit Pape, une année de détention, à la prison de Bir Moghreïn, des visiteurs peu recommandables hantent les nuits de la famille de Vieux. Depuis une semaine, les proches du détenu vivent sous la hantise de deux individus armés qui attendent des heures tardives de la nuit pour venir déranger leur sommeil. Ils essaient de défoncer la porte d’entrée pour s’introduire dans la demeure de Vieux, située non loin de l’ancienne agence Somelec de Sebkha vers les jardins maraîchers.
Redoutant le pire, les proches de Abdallahi (sa fille qui a échappé à la furie des agresseurs et son jeune frère) ont déposé une plainte au Commissariat de police de Sebkha 2, sans succès. « En dépit de cette plainte, les policiers qui nous avaient pourtant communiqué leurs numéros de téléphone, ont ignoré nos complaintes lorsque ces individus animés de mauvaise intention sont revenus à la charge», pestent les proches de Vieux.
Abdallahi tient de son côté à attirer l’attention des autorités sécuritaires sur cette situation. Il exige une protection de ses proches dont la sécurité doit être assurée à l’image de tous les citoyens contre la furie des bêtes sauvages.
Abdallahi Matalla Saleck et Moussa Biram avaient été condamnés en appel à Zouérate, le 18 novembre 2016, à trois ans de prison dont un avec sursis, pour avoir participé à Nouakchott, à un rassemblement non autorisé destiné à défendre les habitants d'un bidonville contre une expropriation. Ces deux hommes ont toujours nié leur participation à cette manifestation et estiment que leur châtiment correspond à une mesure d'intimidation visant l'IRA.
Ils attendent toujours la programmation de leur procès en cassation.
source lecalame.info
Redoutant le pire, les proches de Abdallahi (sa fille qui a échappé à la furie des agresseurs et son jeune frère) ont déposé une plainte au Commissariat de police de Sebkha 2, sans succès. « En dépit de cette plainte, les policiers qui nous avaient pourtant communiqué leurs numéros de téléphone, ont ignoré nos complaintes lorsque ces individus animés de mauvaise intention sont revenus à la charge», pestent les proches de Vieux.
Abdallahi tient de son côté à attirer l’attention des autorités sécuritaires sur cette situation. Il exige une protection de ses proches dont la sécurité doit être assurée à l’image de tous les citoyens contre la furie des bêtes sauvages.
Abdallahi Matalla Saleck et Moussa Biram avaient été condamnés en appel à Zouérate, le 18 novembre 2016, à trois ans de prison dont un avec sursis, pour avoir participé à Nouakchott, à un rassemblement non autorisé destiné à défendre les habitants d'un bidonville contre une expropriation. Ces deux hommes ont toujours nié leur participation à cette manifestation et estiment que leur châtiment correspond à une mesure d'intimidation visant l'IRA.
Ils attendent toujours la programmation de leur procès en cassation.
source lecalame.info
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