Le siège de la Fédération Mauritanienne de Football (FFRIM) à Nouakchott a abrité, lundi, la cérémonie de lancement d’un projet de développement du football en milieu scolaire (Football for schools en Afrique), mis en œuvre par la FIFA en partenariat avec l'Organisation des Nations Unies pour l’Éducation, la Culture et la Science (UNESCO).
Le projet vise à élever, en collaboration avec les autorités et les parties prenantes, le niveau d'accès des jeunes au football en intégrant des activités liées au ballon rond dans le système éducatif, afin de contribuer à l'éducation et l'autonomisation de 700 millions d'enfants à travers le monde.
Ce programme accueilli par la Mauritanie en tant que premier pays africain dans ce domaine, est conçu pour mettre à niveau les compétences et aptitudes visées par la pratique du football et à contribuer à la réalisation des objectifs des Nations Unies dans le domaine du Développement Durable, entre autres.
Les intervenants au cours de la première séance inaugurale du projet, supervisée par le secrétaire général de la FFFRIM, se sont appesantis sur les objectifs « Football for schools en Afrique », son idée, les approches sur lesquelles repose cette initiative et l'importance du football dans le milieu scolaire, qualifié de genre d'éducation inculquant aux enfants des compétences de base (développement de la confiance, de la capacité de réflexion critique, de la prise de décision, de la manière de communiquer avec les autres pour accepter la différence, en plus de la dimension physique et sanitaire).
Le projet repose sur un système éducatif qui s'appuie sur l'organisation d'ateliers régionaux, afin de former des entraîneurs nationaux sur le sujet et de leur transférer les techniques du programme, d'accroître la culture des partenaires éducatifs vis-à-vis de ce sport, ont indiqué les intervenants, selon lesquels, sa réussite demande beaucoup de travail et de sacrifices.
La délégation de la FIFA, qui séjourne actuellement dans notre pays, conduite par le responsable du programme de football dans les écoles, M. Alexandre Gross, a visité en marge de cette cérémonie, en compagnie du président de la Fédération M. Ahmed Ould Yahya, les bureaux de la FFRIM et certaines de ses installations sportives. AMI
Le projet vise à élever, en collaboration avec les autorités et les parties prenantes, le niveau d'accès des jeunes au football en intégrant des activités liées au ballon rond dans le système éducatif, afin de contribuer à l'éducation et l'autonomisation de 700 millions d'enfants à travers le monde.
Ce programme accueilli par la Mauritanie en tant que premier pays africain dans ce domaine, est conçu pour mettre à niveau les compétences et aptitudes visées par la pratique du football et à contribuer à la réalisation des objectifs des Nations Unies dans le domaine du Développement Durable, entre autres.
Les intervenants au cours de la première séance inaugurale du projet, supervisée par le secrétaire général de la FFFRIM, se sont appesantis sur les objectifs « Football for schools en Afrique », son idée, les approches sur lesquelles repose cette initiative et l'importance du football dans le milieu scolaire, qualifié de genre d'éducation inculquant aux enfants des compétences de base (développement de la confiance, de la capacité de réflexion critique, de la prise de décision, de la manière de communiquer avec les autres pour accepter la différence, en plus de la dimension physique et sanitaire).
Le projet repose sur un système éducatif qui s'appuie sur l'organisation d'ateliers régionaux, afin de former des entraîneurs nationaux sur le sujet et de leur transférer les techniques du programme, d'accroître la culture des partenaires éducatifs vis-à-vis de ce sport, ont indiqué les intervenants, selon lesquels, sa réussite demande beaucoup de travail et de sacrifices.
La délégation de la FIFA, qui séjourne actuellement dans notre pays, conduite par le responsable du programme de football dans les écoles, M. Alexandre Gross, a visité en marge de cette cérémonie, en compagnie du président de la Fédération M. Ahmed Ould Yahya, les bureaux de la FFRIM et certaines de ses installations sportives. AMI