Le Président mauritanien, Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani, a déclaré que le coût des dépenses sociales au cours des 4 dernières années s’est élevé à environ 623 milliards MRO.
C’est ce qui ressort de son discours à l’occasion de la fête de l’Indépendance lundi soir.
Il a affirmé : « Notre détermination à éliminer, une fois pour toutes, les diverses formes d’injustice, de marginalisation, d’exclusion, de pauvreté et de fragilité, est conforme à notre ferme principe de soutenir nos citoyens les plus fragiles et ceux ayant les revenus les plus faibles ».
Il a souligné que la lutte contre ces phénomènes « nécessite que nous soutenions rapidement nos citoyens les plus pauvres et les plus vulnérables, et ceux qui sont les plus exposés à l’injustice et à la marginalisation. Ce qui nécessite la mise en place d’un vaste réseau de sécurité sociale, doté de multiples mécanismes et dimensions, pour éviter la détérioration de leurs conditions de vie, de manière à renforcer leur capacité à résister. Par ailleurs, il faut intensifier les efforts pour combler les lacunes et corriger les déséquilibres économiques, sociaux et politiques, tant structurels qu’institutionnels, qui sont à l’origine de ces phénomènes odieux ».
taqadoumy
C’est ce qui ressort de son discours à l’occasion de la fête de l’Indépendance lundi soir.
Il a affirmé : « Notre détermination à éliminer, une fois pour toutes, les diverses formes d’injustice, de marginalisation, d’exclusion, de pauvreté et de fragilité, est conforme à notre ferme principe de soutenir nos citoyens les plus fragiles et ceux ayant les revenus les plus faibles ».
Il a souligné que la lutte contre ces phénomènes « nécessite que nous soutenions rapidement nos citoyens les plus pauvres et les plus vulnérables, et ceux qui sont les plus exposés à l’injustice et à la marginalisation. Ce qui nécessite la mise en place d’un vaste réseau de sécurité sociale, doté de multiples mécanismes et dimensions, pour éviter la détérioration de leurs conditions de vie, de manière à renforcer leur capacité à résister. Par ailleurs, il faut intensifier les efforts pour combler les lacunes et corriger les déséquilibres économiques, sociaux et politiques, tant structurels qu’institutionnels, qui sont à l’origine de ces phénomènes odieux ».
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