Le prix des Lagunes du meilleur film documentaire du Festilag (festival international des lacs et lagunes à Abidjan) a été décerné au jeune réalisateur mauritanien Djibril Diaw pour son film «Retour sans cimetière ».
Retour sans cimetière évoque le conflit entre le Sénégal et laMauritanie, qui a éclaté en 1989 et qui a abouti au massacre et à la déportation des populations Négro-Mauritaniennes. Il faudra attendre 2009, pour qu'un accord entre le Haut-Commissariat aux Réfugiés et le gouvernement Mauritanien prévoit le retour des exilés sur leur terre.
Mais pour les villageois de Donaye, le droit au retour exclut l'accèsbà leur ancien cimetière. Ce film accompagnera leur combat pour retrouver la terre où reposent leurs ancêtres.
Ce film était en compétition avec quatre autres documentaires du Tchad, du Sénégal, duNiger et de la Côte d’Ivoire.
22 films étaient en compétition, dont 5 Longs métrages, 12 Courts métrages et 5 Documentaires, au cours du Festilag qui s’est tenu du 14 au 18 novembre dernier, à Abidjan et Grand Bassam. Un ‘’Jury jeune public’’ avait également été institué cette année, en partenariat avec l’Unicef, afin de permettre aux enfants d’établir leur palmarès au terme du festival.
source lecalame.info
Retour sans cimetière évoque le conflit entre le Sénégal et laMauritanie, qui a éclaté en 1989 et qui a abouti au massacre et à la déportation des populations Négro-Mauritaniennes. Il faudra attendre 2009, pour qu'un accord entre le Haut-Commissariat aux Réfugiés et le gouvernement Mauritanien prévoit le retour des exilés sur leur terre.
Mais pour les villageois de Donaye, le droit au retour exclut l'accèsbà leur ancien cimetière. Ce film accompagnera leur combat pour retrouver la terre où reposent leurs ancêtres.
Ce film était en compétition avec quatre autres documentaires du Tchad, du Sénégal, duNiger et de la Côte d’Ivoire.
22 films étaient en compétition, dont 5 Longs métrages, 12 Courts métrages et 5 Documentaires, au cours du Festilag qui s’est tenu du 14 au 18 novembre dernier, à Abidjan et Grand Bassam. Un ‘’Jury jeune public’’ avait également été institué cette année, en partenariat avec l’Unicef, afin de permettre aux enfants d’établir leur palmarès au terme du festival.
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