L’UE et la Mauritanie reprennent le dialogue pour parvenir à un nouvel accord de pêche. Les divergences sur la compensation financière restent la principale pierre d’achoppement des négociations, qui doivent commencer le 22.
Les 22 et 23, les représentants de l’Union européenne et de la République de Mauritanie reprendront les négociations pour parvenir à un accord de pêche qui permettra à la flotte galicienne de continuer à pêcher dans les eaux du pays africain, virtuellement à cause de la pandémie de covid-19.
La principale pierre d’achoppement reste la contrepartie financière, étant donné que Bruxelles ne veut pas continuer à verser 62,5 millions par an parce qu’il y a des possibilités de pêche qui ne sont pas utilisées. Elle a suggéré que 31 millions suffiraient, un chiffre qui est loin de répondre aux attentes de la Mauritanie.
Bien que la dernière réunion ait rapproché les positions, on n’est pas parvenu à un équilibre qui permettrait à plus d’une douzaine de navires de pêche fraîche et à une demi-douzaine de navires de congélation de continuer à y pêcher.
La flotte est convaincue que cette phase du septième cycle sera décisive pour parvenir à un accord, car, comme elle l’a toujours dit, certains navires galiciens n’ont pas d’autre lieu de pêche et doivent continuer à opérer sous ces latitudes.
La Voz de Galicia/ ndar.info
Les 22 et 23, les représentants de l’Union européenne et de la République de Mauritanie reprendront les négociations pour parvenir à un accord de pêche qui permettra à la flotte galicienne de continuer à pêcher dans les eaux du pays africain, virtuellement à cause de la pandémie de covid-19.
La principale pierre d’achoppement reste la contrepartie financière, étant donné que Bruxelles ne veut pas continuer à verser 62,5 millions par an parce qu’il y a des possibilités de pêche qui ne sont pas utilisées. Elle a suggéré que 31 millions suffiraient, un chiffre qui est loin de répondre aux attentes de la Mauritanie.
Bien que la dernière réunion ait rapproché les positions, on n’est pas parvenu à un équilibre qui permettrait à plus d’une douzaine de navires de pêche fraîche et à une demi-douzaine de navires de congélation de continuer à y pêcher.
La flotte est convaincue que cette phase du septième cycle sera décisive pour parvenir à un accord, car, comme elle l’a toujours dit, certains navires galiciens n’ont pas d’autre lieu de pêche et doivent continuer à opérer sous ces latitudes.
La Voz de Galicia/ ndar.info