Uranium : Aura Energy présentera, le 30 mars aux investisseurs, l’étude de faisabilité améliorée du projet «Tiris»
Aura Energy qui travaille sur le projet « Tiris » d’exploitation d’uranium en Mauritanie passe, le 30 mars courant, à une ultime étape de présentation de son plan de développement à l’intérêt des investisseurs éventuels, à travers un webinar, suite à l’étude de faisabilité améliorée. Cette dernière a vu une augmentation de la valeur actuelle nette du projet d’exploitation d’uranium « Tiris » de 80 à 226 millions de dollars australiens.
Cette porte ouverte sur l’entreprise sera aussi marquée par l’intervention de son directeur général David Woodall qui « présentera une mise à jour sur les activités », « la dynamique actuelle du marché de l’uranium » et l’intérêt des « efforts mondiaux pour décarboniser » ainsi qu’une meilleure appréhension des avantages de l’énergie nucléaire.
David Woodall se prêtera enfin lors de ce webinar aux questions des investisseurs intéressés.
Notons que le projet « Tiris » de production d’uranium devrait entrer en phase de production commerciale en 2024.
Il a déjà fait l’objet, en février 2023, de conventions minières avec l’Etat mauritanien en plus de la signature d’un accord des actionnaires avec l’ANARPAM, l’Agence Nationale de Recherches Géologiques et du Patrimoine Minier.
ladepeche.mr
Cette porte ouverte sur l’entreprise sera aussi marquée par l’intervention de son directeur général David Woodall qui « présentera une mise à jour sur les activités », « la dynamique actuelle du marché de l’uranium » et l’intérêt des « efforts mondiaux pour décarboniser » ainsi qu’une meilleure appréhension des avantages de l’énergie nucléaire.
David Woodall se prêtera enfin lors de ce webinar aux questions des investisseurs intéressés.
Notons que le projet « Tiris » de production d’uranium devrait entrer en phase de production commerciale en 2024.
Il a déjà fait l’objet, en février 2023, de conventions minières avec l’Etat mauritanien en plus de la signature d’un accord des actionnaires avec l’ANARPAM, l’Agence Nationale de Recherches Géologiques et du Patrimoine Minier.
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