Après l’immense désastre des élections législatives, régionales et municipales de mai 2023, qui a touché toute l’opposition historique, l’Union des Forces de Progrès (UFP) s’est livrée à une séance d’exorcisme, dans l’objectif d’en identifier les raisons.
Les responsables du parti ont fait face à la presse jeudi 10 août en début d’après-midi, pour exposer les résultats des travaux des sessions du Bureau Exécutif (BE) et du Conseil National (CN), dont les assises se sont déroulées du 05 au 08 août 2023.
Mohamed ould Saleck, président du Conseil National, a annoncé que les points discutés au cours de ces réunions ont porté « sur l’accord entre le gouvernement et plusieurs partis de l’opposition, en perspective de signature, ainsi que le bilan des dernières élections législatives, régionales et municipales, organisées en mai 2023».
Expliquant l’échec électoral, le président Conseil National de l’UFP a mis en exergue « les causes internes, liées aux investitures des candidats dans certains cas, l’absence de pré-campagne, un déficit sur le plan logistique…. ».
Quant aux causes extérieures, elles portent «sur l’absence de transparence » notée dans tous les scrutins, marqués par une démission de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) par rapport à sa mission de régulation, et dont au moins un cadre a été identifié comme le cerveau d’une véritable fraude.
lecalame
Les responsables du parti ont fait face à la presse jeudi 10 août en début d’après-midi, pour exposer les résultats des travaux des sessions du Bureau Exécutif (BE) et du Conseil National (CN), dont les assises se sont déroulées du 05 au 08 août 2023.
Mohamed ould Saleck, président du Conseil National, a annoncé que les points discutés au cours de ces réunions ont porté « sur l’accord entre le gouvernement et plusieurs partis de l’opposition, en perspective de signature, ainsi que le bilan des dernières élections législatives, régionales et municipales, organisées en mai 2023».
Expliquant l’échec électoral, le président Conseil National de l’UFP a mis en exergue « les causes internes, liées aux investitures des candidats dans certains cas, l’absence de pré-campagne, un déficit sur le plan logistique…. ».
Quant aux causes extérieures, elles portent «sur l’absence de transparence » notée dans tous les scrutins, marqués par une démission de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) par rapport à sa mission de régulation, et dont au moins un cadre a été identifié comme le cerveau d’une véritable fraude.
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