Les travaux d’un atelier de sensibilisation sur la loi incriminant l’esclavage et sur les besoins des cours pénales spécialisées en la matière ont débuté ce mercredi à Nouadhibou avec la participation de représentants de l’administration, de magistrats et d’officiers de la police judiciaire des corps de la Gendarmerie et de la police nationales.
Les participants à cet atelier approfondiront, pendant deux jours, les discussions centrées sur la loi incriminant l’esclavage et s’emploieront à formuler des recommandations de nature à améliorer l’action des cours pénales spécialisées en la matière.
Ils suivront des exposés portant sur les droits de l’Homme et l’esclavage, les mécanismes de protection contre les pratiques esclavagistes, les dispositions de la loi n° 031/2015 incriminant l’esclavage, la collaboration entre administration et justice à l’effet d’une meilleure prise en charge de ces questions ainsi que les meilleurs moyens pour améliorer le fonctionnement des cours pénales.
Le chargé de mission au ministère de la Justice, le magistrat Mohamed Abderrahmane Ould Abdi, a indiqué que le gouvernement a mis en place un arsenal juridique coercitif pour faire face au crime d’esclavage, conformément aux instructions du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, et aux engagements de l’État visant à juguler ces pratiques surannées.
Il a précisé que la loi n° 031/2015 incriminant l’esclavage et les pratiques esclavagistes couronne des efforts nationaux soutenus et résulte d’une série de législations que le pays a connues.
Le chargé de mission a évoqué les différents programmes ambitieux conduits par les pouvoir publics pour éradiquer les séquelles de l’esclavage à travers l’éradication de la pauvreté et de l’ignorance et la réduction des disparités sociales.
De son côté, le représentant onusien du Haut-Commissariat aux droits de l’Homme a souligné l’importance de cet atelier qui ne manquera pas de contribuer à un meilleur traitement des questions liées à l’esclavage et ses séquelles.
Le représentant du BIT a abondé dans le même sens assurant que les échanges au cours de cette rencontre renforceront les capacités des acteurs concernés par la problématique de l’esclavage.
La cérémonie d’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence du hakem adjoint de Nouadhibou.
source AMI
Les participants à cet atelier approfondiront, pendant deux jours, les discussions centrées sur la loi incriminant l’esclavage et s’emploieront à formuler des recommandations de nature à améliorer l’action des cours pénales spécialisées en la matière.
Ils suivront des exposés portant sur les droits de l’Homme et l’esclavage, les mécanismes de protection contre les pratiques esclavagistes, les dispositions de la loi n° 031/2015 incriminant l’esclavage, la collaboration entre administration et justice à l’effet d’une meilleure prise en charge de ces questions ainsi que les meilleurs moyens pour améliorer le fonctionnement des cours pénales.
Le chargé de mission au ministère de la Justice, le magistrat Mohamed Abderrahmane Ould Abdi, a indiqué que le gouvernement a mis en place un arsenal juridique coercitif pour faire face au crime d’esclavage, conformément aux instructions du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, et aux engagements de l’État visant à juguler ces pratiques surannées.
Il a précisé que la loi n° 031/2015 incriminant l’esclavage et les pratiques esclavagistes couronne des efforts nationaux soutenus et résulte d’une série de législations que le pays a connues.
Le chargé de mission a évoqué les différents programmes ambitieux conduits par les pouvoir publics pour éradiquer les séquelles de l’esclavage à travers l’éradication de la pauvreté et de l’ignorance et la réduction des disparités sociales.
De son côté, le représentant onusien du Haut-Commissariat aux droits de l’Homme a souligné l’importance de cet atelier qui ne manquera pas de contribuer à un meilleur traitement des questions liées à l’esclavage et ses séquelles.
Le représentant du BIT a abondé dans le même sens assurant que les échanges au cours de cette rencontre renforceront les capacités des acteurs concernés par la problématique de l’esclavage.
La cérémonie d’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence du hakem adjoint de Nouadhibou.
source AMI