Le service des urgences et d’observation du centre de traumatologie et des grands brûlés de Nouakchott, a enregistré un très fort pic d’activité à tel point que, ce mercredi 21 février, il n’y avait pas suffisamment de lits pour accueillir les patients dans la salle d’observation, a constaté notre reporter.
Sur place, des malades ont été obligés de marcher la distance qui relie le portail du centre à la salle d’observation faute de chariots élévateurs, de fauteuils roulants et de brancards. Interrogé, le garçon de salle présent devant la porte d’accès, raconte : « tous les chariots, fauteuils roulants sont cassés. Et il ne reste que celui-ci et il n’est plus utilisable ». Il montre de la main les restants d’un lit déposé à la droite de la porte.
Sans tarder, deux femmes âgées débarquèrent d’un taxi avec un enfant (10 ans environ) blessé à la jambe. Faute de chariots et de fauteuils roulants, le gamin soutenu par les deux dames, sautille jusqu’à l’unique lit qui jouxte le bureau du médecin dans la salle d’observation, a précisé notre reporter.
Créé par le pouvoir en place, depuis plus de trois ans dans l’option de diminuer la pression sur les autres centres hospitaliers de Nouakchott (National, Amitié, Cheikh-Zayed et Militaire), le centre de traumatologie et des grands brûlés, était jusque là, très sollicité par les usagers. Mais, les équipements (lits, chariots et fauteuils roulants) pour transporter les patients incapables sont indispensables, renchérit une dame qui souffre d’une entorse au pied.
Plus d’informations sur cette question, notre reporter avait essayé de faire parler l’infirmier qui était à côté, mais ce dernier, n’a pas manifesté sa disponibilité.
source tawary.com
Sur place, des malades ont été obligés de marcher la distance qui relie le portail du centre à la salle d’observation faute de chariots élévateurs, de fauteuils roulants et de brancards. Interrogé, le garçon de salle présent devant la porte d’accès, raconte : « tous les chariots, fauteuils roulants sont cassés. Et il ne reste que celui-ci et il n’est plus utilisable ». Il montre de la main les restants d’un lit déposé à la droite de la porte.
Sans tarder, deux femmes âgées débarquèrent d’un taxi avec un enfant (10 ans environ) blessé à la jambe. Faute de chariots et de fauteuils roulants, le gamin soutenu par les deux dames, sautille jusqu’à l’unique lit qui jouxte le bureau du médecin dans la salle d’observation, a précisé notre reporter.
Créé par le pouvoir en place, depuis plus de trois ans dans l’option de diminuer la pression sur les autres centres hospitaliers de Nouakchott (National, Amitié, Cheikh-Zayed et Militaire), le centre de traumatologie et des grands brûlés, était jusque là, très sollicité par les usagers. Mais, les équipements (lits, chariots et fauteuils roulants) pour transporter les patients incapables sont indispensables, renchérit une dame qui souffre d’une entorse au pied.
Plus d’informations sur cette question, notre reporter avait essayé de faire parler l’infirmier qui était à côté, mais ce dernier, n’a pas manifesté sa disponibilité.
source tawary.com