Un atelier de lancement de la promotion des mesures alternatives non-privatives de liberté pour les enfants en conflit avec la loi a démarré mercredi à Nouakchott. L’objectif de cette rencontre est de mettre en œuvre les recommandations du comité des droits de l’enfant suggérant que les enfants âgés de 8 à 14 ans ne fassent plus l’objet de procédures, de décisions judiciaires ou administratives.
Le secrétaire, général du ministère de la Justice, M. Mohamed Ould Ahmed Aida, a indiqué que son département œuvre, à travers sa politique sectorielle actuelle, dont la justice des mineurs, à appliquer une stratégie claire afin d’assurer une meilleure protection judiciaire des enfants en conflit avec la loi. Pour ce faire, le ministère, s’attelle à accompagner cette frange par des mesures spéciales dont la police des mineurs, les tribunaux et les centres d'accueil, en mettant à leur disposition assistants sociaux et avocats.
Il a ajouté que ce projet de promotion de mesures alternatives à l’emprisonnement des enfants en conflit avec la loi intervient comme fruit de la coopération constructive entre le ministère d’une part et l’UNICEF et TERRE DES HOMMES d’autre part.
M. Mohamed Ould Ahmed Aida a conclu en disant qu’il s’agit d’une tentative pour trouver la plus grande protection possible des enfants en conflit avec la loi.
De son côté la représentante de l’UNICEF en Mauritanie Mme Magali Romedenne a félicité le ministère de la Justice pour cet atelier qui marque le lancement d’une série d’activités qui engagent les acteurs de la justice pour mineurs à Nouakchott et à Nouadhibou à l’élaboration d’un cadre de mise en œuvre de mesures non-privatives de liberté pour les enfants en conflit avec la loi.
Elle a ajouté qu’elle souhaite que la justice pour mineurs en Mauritanie continue de progresser vers des standards de qualité pour le bien-être et le développement des potentialités de la jeunesse.
Mme Magali Romedenne s’est dite convaincue que des efforts peuvent être réalisés par le département pour la réduction des longues détentions préventives et l’application des garanties légales auxquelles ont droit les enfants en conflit avec la loi. En outre, les enfants placés ou détenus doivent faire l’objet d’un encadrement de qualité et bénéficier de services de soutien psychosocial et de l’accès à des programmes de réinsertion sociale.
AMI
Le secrétaire, général du ministère de la Justice, M. Mohamed Ould Ahmed Aida, a indiqué que son département œuvre, à travers sa politique sectorielle actuelle, dont la justice des mineurs, à appliquer une stratégie claire afin d’assurer une meilleure protection judiciaire des enfants en conflit avec la loi. Pour ce faire, le ministère, s’attelle à accompagner cette frange par des mesures spéciales dont la police des mineurs, les tribunaux et les centres d'accueil, en mettant à leur disposition assistants sociaux et avocats.
Il a ajouté que ce projet de promotion de mesures alternatives à l’emprisonnement des enfants en conflit avec la loi intervient comme fruit de la coopération constructive entre le ministère d’une part et l’UNICEF et TERRE DES HOMMES d’autre part.
M. Mohamed Ould Ahmed Aida a conclu en disant qu’il s’agit d’une tentative pour trouver la plus grande protection possible des enfants en conflit avec la loi.
De son côté la représentante de l’UNICEF en Mauritanie Mme Magali Romedenne a félicité le ministère de la Justice pour cet atelier qui marque le lancement d’une série d’activités qui engagent les acteurs de la justice pour mineurs à Nouakchott et à Nouadhibou à l’élaboration d’un cadre de mise en œuvre de mesures non-privatives de liberté pour les enfants en conflit avec la loi.
Elle a ajouté qu’elle souhaite que la justice pour mineurs en Mauritanie continue de progresser vers des standards de qualité pour le bien-être et le développement des potentialités de la jeunesse.
Mme Magali Romedenne s’est dite convaincue que des efforts peuvent être réalisés par le département pour la réduction des longues détentions préventives et l’application des garanties légales auxquelles ont droit les enfants en conflit avec la loi. En outre, les enfants placés ou détenus doivent faire l’objet d’un encadrement de qualité et bénéficier de services de soutien psychosocial et de l’accès à des programmes de réinsertion sociale.
AMI