La ministre des affaires sociales, de l’enfance et de la famille, Mme Maimouna Mint Mohamed Taghi, a réaffirmé mercredi à Tunis devant la réunion ministérielle sur l’identité et l’adhésion que des progrès ont été réalisés en Mauritanie pour promouvoir les conditions de vie des enfants et préserver leurs droits.
Elle a ajouté que la Mauritanie a ratifié toutes les conventions et chartes internationales de lutte contre toutes les formes de discrimination, telles que la convention internationale des droits de l’enfant et les chartes arabe et africaine des droits de cette frange.
Au plan constitutionnel, la ministre a souligné que la loi fondamentale de la République Islamique de Muritanie garantie l’égalité entre tous les citoyens devant la loi, sans aucune distinction sur la base de la race et du sexe ou du statut social et que la famille jouit de la protection de l’Etat et de la société.
Abordant les textes juridiques institués par le pays, Mme Maimouna Mint Mohamed Taghi a rappelé l’adoption du code de statut personnel, l’ordonnance portant protection pénitentiaire de l’enfant, la loi rendant l’enseignement obligatoire et le code de statut spécial de l’enfant mauritanien.
Parlant des réfugiés, la ministre a précisé que la Mauritanie a accueilli et protégé des milliers des déplacés maliens dans le camp de Mbéré et que les autorités assurent actuellement le recensement de leurs enfants afin de leur doter des pièces d’état civil.
La ministre a enfin salué la tenue de cette réunion ministérielle qui constitue à ses yeux une précieuse opportunité pour discuter et échanger sur les questions de l’identité et l’adhésion dans notre région arabe et s’inspirer des expériences pionnières dans le domaine de la protection de l’enfance.
source AMI
Elle a ajouté que la Mauritanie a ratifié toutes les conventions et chartes internationales de lutte contre toutes les formes de discrimination, telles que la convention internationale des droits de l’enfant et les chartes arabe et africaine des droits de cette frange.
Au plan constitutionnel, la ministre a souligné que la loi fondamentale de la République Islamique de Muritanie garantie l’égalité entre tous les citoyens devant la loi, sans aucune distinction sur la base de la race et du sexe ou du statut social et que la famille jouit de la protection de l’Etat et de la société.
Abordant les textes juridiques institués par le pays, Mme Maimouna Mint Mohamed Taghi a rappelé l’adoption du code de statut personnel, l’ordonnance portant protection pénitentiaire de l’enfant, la loi rendant l’enseignement obligatoire et le code de statut spécial de l’enfant mauritanien.
Parlant des réfugiés, la ministre a précisé que la Mauritanie a accueilli et protégé des milliers des déplacés maliens dans le camp de Mbéré et que les autorités assurent actuellement le recensement de leurs enfants afin de leur doter des pièces d’état civil.
La ministre a enfin salué la tenue de cette réunion ministérielle qui constitue à ses yeux une précieuse opportunité pour discuter et échanger sur les questions de l’identité et l’adhésion dans notre région arabe et s’inspirer des expériences pionnières dans le domaine de la protection de l’enfance.
source AMI