emal Isselmou Ould Hejaje a investi dans ce Paradis perdu aux confins de l’Adrar, puis s’y est installé. L’auberge qu’il a installé sur place offre des services de qualité à des prix compétitifs, après un réaménagement des lieux et la construction d’une route de liaison d’un kilomètre de long, fruit de deux ans de durs labeurs. Là, le voyageur, éreinté par une ou deux journées de voyage trouvera un confort rupestre et une source naturelle, au milieu d’un paysage de rêve et d’une nature encore sauvage.
Seule structure incongrue parmi ces vestiges encore préhistoriques, un dispensaire qui n’a pas reçu d’infirmier depuis plus de trois ans. D’où la demande pressante des oasiens pour la réhabilitation du centre de santé, à quelques encablures d’une saison touristique qui s’annonce déjà très prometteuse.