La capitale économique a abrité lundi matin, un atelier lancé par les acteurs de la justice pénale sur la gestion des biens saisis et les modalités d'en disposer. Cette rencontre est organisée par le Bureau de gestion des avoirs gelés, saisis et confisqués dans le cadre du programme de modernisation et d'accès à la justice.
Cet atelier de deux jours vise à améliorer les capacités des acteurs judiciaires pour leur permettre de comprendre les fonctions de cet organisme et ses modes de fonctionnement. Il vise également à les sensibiliser aux fonctions de cette structure et à ses modalités de fonctionnement, en plus de la formation des participants sur les relations de coopération entre le bureau et les différents acteurs de la chaîne pénale.
Les participants à cet atelier suivront des présentations traitant, entre autres, des fonctions de cet organe, de son fonctionnement et des textes qui le régissent.
Le directeur général du Bureau de gestion des biens gelés, saisis et confisqués, le magistrat Cheikh Ould Baba Ahmed, a souligné que la création de cette institution est une étape avancée dans la lutte contre la corruption, le détournement de fonds publics, le blanchiment d'argent, le financement du terrorisme, le trafic de drogue et même l'enrichissement sans cause, car les criminels ne profiteront plus du produit de leurs actes criminels.
Il a déclaré que l'État disposera des mécanismes nécessaires pour préserver et gérer ces fonds jusqu'à ce qu'ils reviennent à leur juste propriétaire par une décision de justice.
Ainsi notre pays est en avance sur ce plan par rapport à son environnement arabe et africain, où la plupart des pays ne sont toujours pas en mesure de créer de tels organes qui sont les instruments les plus en vue contre la corruption et le crime organisé.
Il a expliqué que la corruption est l'un des défis majeurs auxquels sont confrontés les pays contemporains en général et les pays en développement en particulier, car elle constitue une menace pour la démocratie et l'État de droit, un fait dont Son Excellence le Président de la République, M.Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani a pris conscience et contre lequel la lutte se poursuit sans relâche.
A son tour, le représentant du Programme des Nations Unies pour la Population, M. Ifah Ould Ibrahim Jid, a souligné que cet atelier est un exemple réussi de coopération entre les différents partenaires au développement et le ministère de la justice.
L'ouverture de l'atelier s’est déroulée en présence du conseiller du wali de Dakhlet Nouadhibou, M. Mohamed El Moustapha Ould El Mokhtar, et du hakem mouçaid de Nouadhibou. AMI
Cet atelier de deux jours vise à améliorer les capacités des acteurs judiciaires pour leur permettre de comprendre les fonctions de cet organisme et ses modes de fonctionnement. Il vise également à les sensibiliser aux fonctions de cette structure et à ses modalités de fonctionnement, en plus de la formation des participants sur les relations de coopération entre le bureau et les différents acteurs de la chaîne pénale.
Les participants à cet atelier suivront des présentations traitant, entre autres, des fonctions de cet organe, de son fonctionnement et des textes qui le régissent.
Le directeur général du Bureau de gestion des biens gelés, saisis et confisqués, le magistrat Cheikh Ould Baba Ahmed, a souligné que la création de cette institution est une étape avancée dans la lutte contre la corruption, le détournement de fonds publics, le blanchiment d'argent, le financement du terrorisme, le trafic de drogue et même l'enrichissement sans cause, car les criminels ne profiteront plus du produit de leurs actes criminels.
Il a déclaré que l'État disposera des mécanismes nécessaires pour préserver et gérer ces fonds jusqu'à ce qu'ils reviennent à leur juste propriétaire par une décision de justice.
Ainsi notre pays est en avance sur ce plan par rapport à son environnement arabe et africain, où la plupart des pays ne sont toujours pas en mesure de créer de tels organes qui sont les instruments les plus en vue contre la corruption et le crime organisé.
Il a expliqué que la corruption est l'un des défis majeurs auxquels sont confrontés les pays contemporains en général et les pays en développement en particulier, car elle constitue une menace pour la démocratie et l'État de droit, un fait dont Son Excellence le Président de la République, M.Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani a pris conscience et contre lequel la lutte se poursuit sans relâche.
A son tour, le représentant du Programme des Nations Unies pour la Population, M. Ifah Ould Ibrahim Jid, a souligné que cet atelier est un exemple réussi de coopération entre les différents partenaires au développement et le ministère de la justice.
L'ouverture de l'atelier s’est déroulée en présence du conseiller du wali de Dakhlet Nouadhibou, M. Mohamed El Moustapha Ould El Mokhtar, et du hakem mouçaid de Nouadhibou. AMI