Une quarantaine de veuves, orphelins, proches de militaires noirs victimes d’exécutions extra-judiciaires en 1990/1991, et des militants de divers mouvements de soutien, arrêtés le samedi 28 novembre, en marge de la célébration du 60éme anniversaire de l’indépendance de la Mauritanie, ont été libérés dimanche enfin d’après-midi.
Ces individus ont été interpelés alors qu’ils tentaient d’accéder à la tribune officielle, pour remettre au président mauritanien, Mohamed Cheikh El Ghazouani, un document réclamant l’abrogation d’une loi d’amnistie couvrant les présumés auteurs de ces crimes, votée en mai 1993.
«33 camarades et moi-même, nous sommes libres après 24 heures de garde à vue, la lutte continue», déclare une personne interpelée.
lecalame.info
Ces individus ont été interpelés alors qu’ils tentaient d’accéder à la tribune officielle, pour remettre au président mauritanien, Mohamed Cheikh El Ghazouani, un document réclamant l’abrogation d’une loi d’amnistie couvrant les présumés auteurs de ces crimes, votée en mai 1993.
«33 camarades et moi-même, nous sommes libres après 24 heures de garde à vue, la lutte continue», déclare une personne interpelée.
lecalame.info