Le ministère de la Justice a nié catégoriquement l’existence d’un document ayant la qualité et la teneur rapportés par l'un de ses ex conseillers à travers une émission télévisée dans une chaine indépendante locale.
Il a rejeté, dans un communiqué dont copie est parvenue à l'AMI, le caractère d’acharnement contraire à la loi des déclarations de ce conseiller et le mensonge et la mauvaise foi que celles-ci contiennent à l’encontre de son ex département.
Voici le communiqué dans son intégralité:
"Un ex conseiller au ministère de la Justice a parlé, à travers une émission télévisée dans une chaine indépendante locale, de ce qu’il a appelé un document officiel qu’il a consulté dans le bureau du ministre de la Justice et qui démontre le détournement de millions de devises sans que cela soit vérifié.
Le ministère de la Justice, tout en niant catégoriquement l’existence d’un document ayant la qualité et la teneur rapportés par l’ex conseiller et rejetant le caractère d’acharnement contraire à la loi de ses déclarations et le mensonge et la mauvaise foi que celles-ci contiennent à l’encontre de son ex département, précise ce qui suit :
- Il ne s’agit ni plus ni moins que d’une simple formalité routinière de reportage d’informations contenues dans des déclarations de suspects en phase d’enquête préliminaire ; Instruction a été faite en son temps d’enquêter sur ces informations sur différents plans, à travers plusieurs parties et de manière efficace. Il s’est avéré que le sujet porte sur des opérations financières ordinaires et normales de certaines institutions de l’Etat au cours d’années précédentes et qu’elles ne sont entachées d’aucune suspicion.
- Les personnes qui avaient donné ces informations en phase d’enquête préliminaire, y compris l’accusée principale dans l’affaire, les ont déclarées ultérieurement et publiquement devant la justice, y compris la phase du procès public devant un large public. Ces informations ont été transmises aux juridictions compétentes et reprises par les medias et les réseaux sociaux ; il ne s’agit donc plus d’une affaire secrète ni nouvelle.
- En défit de la mauvaise compréhension par certains parmi les non techniciens de ces informations après les avoir entendues dans la salle du procès et la consultation de celle-ci dans des procès-verbaux fuités par certains il y a plusieurs mois, il ressort qu’en fait, après leur traitement par la justice et leur soumission à différentes enquêtes financières et pénales, aucun vice financier ni élément pénal n’a été décelé.
- Aucune intervention n’a été faite pour empêcher une quelconque investigation sur de quelconques informations relatives à l’argent public et portées à notre connaissance ; car la politique pénale en vigueur dans notre pays actuellement est basée sur la fermeté en matière de protection des fonds publics et de prévention de la gabegie, et ce sans excès ni acharnement ni sélectivité, avec la création du climat propice pour les instances compétentes d’accomplir leurs missions conformément aux critères techniques et juridiques.
Fait le 22/10/2021.
Le ministère de la Justice".
AMI
Il a rejeté, dans un communiqué dont copie est parvenue à l'AMI, le caractère d’acharnement contraire à la loi des déclarations de ce conseiller et le mensonge et la mauvaise foi que celles-ci contiennent à l’encontre de son ex département.
Voici le communiqué dans son intégralité:
"Un ex conseiller au ministère de la Justice a parlé, à travers une émission télévisée dans une chaine indépendante locale, de ce qu’il a appelé un document officiel qu’il a consulté dans le bureau du ministre de la Justice et qui démontre le détournement de millions de devises sans que cela soit vérifié.
Le ministère de la Justice, tout en niant catégoriquement l’existence d’un document ayant la qualité et la teneur rapportés par l’ex conseiller et rejetant le caractère d’acharnement contraire à la loi de ses déclarations et le mensonge et la mauvaise foi que celles-ci contiennent à l’encontre de son ex département, précise ce qui suit :
- Il ne s’agit ni plus ni moins que d’une simple formalité routinière de reportage d’informations contenues dans des déclarations de suspects en phase d’enquête préliminaire ; Instruction a été faite en son temps d’enquêter sur ces informations sur différents plans, à travers plusieurs parties et de manière efficace. Il s’est avéré que le sujet porte sur des opérations financières ordinaires et normales de certaines institutions de l’Etat au cours d’années précédentes et qu’elles ne sont entachées d’aucune suspicion.
- Les personnes qui avaient donné ces informations en phase d’enquête préliminaire, y compris l’accusée principale dans l’affaire, les ont déclarées ultérieurement et publiquement devant la justice, y compris la phase du procès public devant un large public. Ces informations ont été transmises aux juridictions compétentes et reprises par les medias et les réseaux sociaux ; il ne s’agit donc plus d’une affaire secrète ni nouvelle.
- En défit de la mauvaise compréhension par certains parmi les non techniciens de ces informations après les avoir entendues dans la salle du procès et la consultation de celle-ci dans des procès-verbaux fuités par certains il y a plusieurs mois, il ressort qu’en fait, après leur traitement par la justice et leur soumission à différentes enquêtes financières et pénales, aucun vice financier ni élément pénal n’a été décelé.
- Aucune intervention n’a été faite pour empêcher une quelconque investigation sur de quelconques informations relatives à l’argent public et portées à notre connaissance ; car la politique pénale en vigueur dans notre pays actuellement est basée sur la fermeté en matière de protection des fonds publics et de prévention de la gabegie, et ce sans excès ni acharnement ni sélectivité, avec la création du climat propice pour les instances compétentes d’accomplir leurs missions conformément aux critères techniques et juridiques.
Fait le 22/10/2021.
Le ministère de la Justice".
AMI