Lors de la cérémonie de sortie d'une nouvelle promotion d'étudiants de l'École nationale d’Administration, du Journalisme et de Magistrature (ENAJM) qu'il a supervisée, jeudi matin, au centre internationale des conférences dit El Mourabitoune, Son Excellence le Président de la République, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani a déclaré, qu'il est temps de mettre fin aux déséquilibres et dysfonctionnements dont souffre l'administration mauritanienne.
Il a souligné que le moment est désormais venu de mettre en place une administration moderne et efficace pour un service public de proximité au service du citoyen. Il a exprimé sa satisfaction d'assister à la cérémonie de sortie d'une nouvelle promotion d'étudiants, considérée comme la plus importante promotion de cette école en terme de nombre et de diversité des disciplines et contenus de formations.
Son Excellence a ajouté que cette nouvelle promotion donnera un nouveau souffle à l'administration, qu'il souhaite voir figurer sur l'action de l'administration, soulignant que celle-ci doit rapprocher ses services du citoyen en interagir avec ses problèmes et sollicitations avec efficacité et célérité et dans le respect de la dignité de ses usagers.
Le Président de la République a fait mention des tares dont souffre notre administration, dont pour preuve le fait que la Présidence de la République ne reçoit pas de façon quotidienne ou hebdomadaire des rapports sur les plaintes et problèmes des citoyens. Il a passé en revue quelques exemples de déséquilibres qui caractérises les services des établissements publics, dont la plus part ne mettent pas en place les mécanismes qu'il faut pour la réception et l'orientation du citoyen, soulignant que ce type de lacunes n'est plus tolérable.
Ces déséquilibres, poursuit-il, sont notés au niveau de l'administration centrale, en particulier des départements de l'urbanisme, de l’eau, de l’électricité, des impôts, de la santé, du registre social et de l'administration territoriale, dont le contact avec le citoyens est très déficient, ce qui est a entrainé un manque de confiance entre le citoyen et ces administrations.
Les services assurés par ces départements sont en deçà des attentes des citoyens qui souffrent des coupures brutales et régulières de l'eau et de l'électricité.
S'agissant de l'urbanisme, il y a également le problème du double emploi sur les parcelles de terrain. Ces déséquilibres se manifestent également à travers l’arbitraire des factures des impôts ainsi qu’au niveau des établissements d'état civil où les citoyens font la queue quotidiennement pour accéder à un extrait ou à une inscription.
Par ailleurs, le Président de la République s'est interrogé, dans ce cadre, de l'intérêt de la numérisation si elle n'assure, n’accélère et ne facilite le service public. AMI
Il a souligné que le moment est désormais venu de mettre en place une administration moderne et efficace pour un service public de proximité au service du citoyen. Il a exprimé sa satisfaction d'assister à la cérémonie de sortie d'une nouvelle promotion d'étudiants, considérée comme la plus importante promotion de cette école en terme de nombre et de diversité des disciplines et contenus de formations.
Son Excellence a ajouté que cette nouvelle promotion donnera un nouveau souffle à l'administration, qu'il souhaite voir figurer sur l'action de l'administration, soulignant que celle-ci doit rapprocher ses services du citoyen en interagir avec ses problèmes et sollicitations avec efficacité et célérité et dans le respect de la dignité de ses usagers.
Le Président de la République a fait mention des tares dont souffre notre administration, dont pour preuve le fait que la Présidence de la République ne reçoit pas de façon quotidienne ou hebdomadaire des rapports sur les plaintes et problèmes des citoyens. Il a passé en revue quelques exemples de déséquilibres qui caractérises les services des établissements publics, dont la plus part ne mettent pas en place les mécanismes qu'il faut pour la réception et l'orientation du citoyen, soulignant que ce type de lacunes n'est plus tolérable.
Ces déséquilibres, poursuit-il, sont notés au niveau de l'administration centrale, en particulier des départements de l'urbanisme, de l’eau, de l’électricité, des impôts, de la santé, du registre social et de l'administration territoriale, dont le contact avec le citoyens est très déficient, ce qui est a entrainé un manque de confiance entre le citoyen et ces administrations.
Les services assurés par ces départements sont en deçà des attentes des citoyens qui souffrent des coupures brutales et régulières de l'eau et de l'électricité.
S'agissant de l'urbanisme, il y a également le problème du double emploi sur les parcelles de terrain. Ces déséquilibres se manifestent également à travers l’arbitraire des factures des impôts ainsi qu’au niveau des établissements d'état civil où les citoyens font la queue quotidiennement pour accéder à un extrait ou à une inscription.
Par ailleurs, le Président de la République s'est interrogé, dans ce cadre, de l'intérêt de la numérisation si elle n'assure, n’accélère et ne facilite le service public. AMI