La Commission nationale des Droits de l'Homme affirme que les allégations sur de prétendus propos faisant l’apologie de l’esclavage sont sans fondements
La Commission national des Droits de l'Homme, a fait, ce jeudi, un point presse à son siège à Nouakchott, au cours duquel elle a confirmé le démenti de ce qui était évoqué dans le communiqué de SOS Esclavage et qui s’est avéré sans fondements, assure-t-elle.
La Commission nationale des Droits de l'Homme déclare avoir tenu une réunion avec le Haut-Commissariat aux Droits de l'Homme et Bureau du Haut-Commissariat aux Droits de l'homme tout comme elle a dépêché une mission à Ouadane et Atar du 29 mars 2021 au 1er avril 2021. Après profondes investigations sur le terrain, elle avance qu’aucune preuve n’a été recueillie pouvant confirmer les allégations de SOS esclaves relatives à des propos faisant l’apologie de l’esclavage au cours d’une cérémonie de mariage. Aussi bien le mari que tous les témoins présents à la cérémonie du mariage en question ont assuré que le terme « esclave » n’a pas même pas été prononcé à cette occasion.
En conséquence, et sur la base de ce qui précède, la Commission nationale des Droits de l'Homme se dit attachée à ses principes fondateurs et qu'elle continuera à communiquer et à informer en toute transparence et en toute objectivité les organisations de la société civile et les militants des droits de l'homme sur toutes les questions relatives aux droits de l'homme, en particulier sur la question de l'esclavage.
AMI
La Commission nationale des Droits de l'Homme déclare avoir tenu une réunion avec le Haut-Commissariat aux Droits de l'Homme et Bureau du Haut-Commissariat aux Droits de l'homme tout comme elle a dépêché une mission à Ouadane et Atar du 29 mars 2021 au 1er avril 2021. Après profondes investigations sur le terrain, elle avance qu’aucune preuve n’a été recueillie pouvant confirmer les allégations de SOS esclaves relatives à des propos faisant l’apologie de l’esclavage au cours d’une cérémonie de mariage. Aussi bien le mari que tous les témoins présents à la cérémonie du mariage en question ont assuré que le terme « esclave » n’a pas même pas été prononcé à cette occasion.
En conséquence, et sur la base de ce qui précède, la Commission nationale des Droits de l'Homme se dit attachée à ses principes fondateurs et qu'elle continuera à communiquer et à informer en toute transparence et en toute objectivité les organisations de la société civile et les militants des droits de l'homme sur toutes les questions relatives aux droits de l'homme, en particulier sur la question de l'esclavage.
AMI
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