Les responsables de la « Coalition Espoir Mauritanie », grande surprise des élections législatives, régionales et municipales de mai 2023, ont fait face à la presse mercredi 9 août, en début d’après-midi. Diop Amadou Tidiane, Kadiata Malick Diallo et leurs camarades, ont fait un tour d’horizon de l’actualité, en insistant largement sur les problèmes de gouvernement et le recul du pays, dans tous les domaines pendant les 4 années du magistère Ghazouani. La députée Kadiata Malick Diallo a exposé les graves problèmes auxquels est confrontée la Mauritanie, notamment « le recul des libertés illustré par l’arrestation du député de l’opposition, Mohamed Bouya, la dégradation des conditions de vie des populations, sous l’effet de la hausse exponentielle des prix, à l’image des légumes tels que l’oignon et de la pomme de terre depuis quelques semaines…. ».
Sur le plan de la gouvernance, l’élue de la coalition « Espoir Mauritanie » a dénoncé « l’absence d’une déclaration publique de patrimoine » du président Mohamed Cheikh El Ghazouani, après 4 ans d’exercice du pouvoir « en violation des règles relatives à la transparence, le clientélisme et le népotisme, au détriment de la compétence pour l’accès à tous les postes dans le public, la non publication des rapports de la Cour des Comptes, la caporalisation de la presse privée, transformée en simples relais de la voix du gouvernement au même titre que la presse officielle… ». Kadiata Malick Diallo a enfin critiqué une hausse continue du budget de l’Etat, à travers toutes les lois des finances depuis 2020 « sans aucune incidence positive visible sur la vie des travailleurs et la qualité des infrastructures ».
lecalame
Sur le plan de la gouvernance, l’élue de la coalition « Espoir Mauritanie » a dénoncé « l’absence d’une déclaration publique de patrimoine » du président Mohamed Cheikh El Ghazouani, après 4 ans d’exercice du pouvoir « en violation des règles relatives à la transparence, le clientélisme et le népotisme, au détriment de la compétence pour l’accès à tous les postes dans le public, la non publication des rapports de la Cour des Comptes, la caporalisation de la presse privée, transformée en simples relais de la voix du gouvernement au même titre que la presse officielle… ». Kadiata Malick Diallo a enfin critiqué une hausse continue du budget de l’Etat, à travers toutes les lois des finances depuis 2020 « sans aucune incidence positive visible sur la vie des travailleurs et la qualité des infrastructures ».
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