La situation sécuritaire au Mali devient de plus en plus précaire. Elle est favorisée par le retrait de la Minusma et l’implication de forces étrangères (Wagner) dans la région. Une situation que Mauritanie suit avec attention et une grande préoccupation. Les récents développements sur le terrain poussent les tentacules de l’instabilité vers l’Est du pays mitoyen du Mali.
La guerre fait rage à l’Est de nos frontières et plus généralement sur toutes les frontières maliennes. Tantôt entre l’Etat malien et les touaregs, tantôt au sein de la nébuleuse terroriste elle-même pour une mainmise sur des portions du territoire. Ce n’est donc pas une simple revue d’effectif que le ministre de la défense mène, en compagnie du Général de division Moctar Bellah Chaabane, chef d’Etat-Major Général des Armées, dans la partie orientale du pays.
Le moment semble grave et le commandement militaire en prend la juste mesure d’autant que les dernières échauffourées entre les belligérants aux accords de paix maliens ont indirectement impliqué, pour des raisons humanitaires, notre pays.
C’est donc une visite d’inspection et d’informations sur les conditions de déploiements des unités militaires stationnées à la frontière Est du pays qui est à l’ordre du jour. Il s’agit de jauger le moral des troupes, de veiller au grain pour leur opérationnalité extrême de poursuivre la formation de terrain. Un souci qui animerait le président de la République lui-même. Le message était clair. Les troupes devraient être prêtes à toute velléité extérieure pour perpétuer la posture et garantir la sécurité de nos ressortissants.
Le ministre de la défense, Hanena Ould Sidi, a exhorté dans ce sens à « persévérer dans le travail, de prêter attention à la formation du personnel, d’assurer la maintenance des équipements et de développer les capacités opérationnelles des unités de terrain ». La Mauritanie sonne ainsi la mobilisation de ses troupes massées à la frontière.
A noter enfin que la visite d’inspection a été effectuée en présence du Général de brigade Mohamed Moctar Ould Meni, chef d’état-major de l’armée de terre et du Général de brigade Abdallahi Mohamed Sidi Lemine, commandant de la 5ème région militaire.
ladepeche.mr
La guerre fait rage à l’Est de nos frontières et plus généralement sur toutes les frontières maliennes. Tantôt entre l’Etat malien et les touaregs, tantôt au sein de la nébuleuse terroriste elle-même pour une mainmise sur des portions du territoire. Ce n’est donc pas une simple revue d’effectif que le ministre de la défense mène, en compagnie du Général de division Moctar Bellah Chaabane, chef d’Etat-Major Général des Armées, dans la partie orientale du pays.
Le moment semble grave et le commandement militaire en prend la juste mesure d’autant que les dernières échauffourées entre les belligérants aux accords de paix maliens ont indirectement impliqué, pour des raisons humanitaires, notre pays.
C’est donc une visite d’inspection et d’informations sur les conditions de déploiements des unités militaires stationnées à la frontière Est du pays qui est à l’ordre du jour. Il s’agit de jauger le moral des troupes, de veiller au grain pour leur opérationnalité extrême de poursuivre la formation de terrain. Un souci qui animerait le président de la République lui-même. Le message était clair. Les troupes devraient être prêtes à toute velléité extérieure pour perpétuer la posture et garantir la sécurité de nos ressortissants.
Le ministre de la défense, Hanena Ould Sidi, a exhorté dans ce sens à « persévérer dans le travail, de prêter attention à la formation du personnel, d’assurer la maintenance des équipements et de développer les capacités opérationnelles des unités de terrain ». La Mauritanie sonne ainsi la mobilisation de ses troupes massées à la frontière.
A noter enfin que la visite d’inspection a été effectuée en présence du Général de brigade Mohamed Moctar Ould Meni, chef d’état-major de l’armée de terre et du Général de brigade Abdallahi Mohamed Sidi Lemine, commandant de la 5ème région militaire.
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