Les Mourabitounes se sont mis dans une mauvaise passe dimanche face au Burundi. Après le match nul concédé il y a une semaine à Nouakchott, ils ont été défaits dimanche à Bujumbura devant ces mêmes adversaires sur le score de 3 buts à 1. Même s’ils gardent la deuxième place du groupe après le Maroc (7 points), ils ont à l’occasion relancé leurs adversaires du jour qui ne sont plus qu’à 1 point, avec le total de 4 points acquis au terme de la rencontre.
Les Mourabitoune peuvent toutefois se conforter en ayant leur destin en main. Il leur reste 2 rencontres à Nouakchott au sortir desquelles il leur suffira un maximum de 4 points pour assurer leur qualification. Ce sera en mars prochain face au Maroc d’abord après le match nul qu’ils ont obtenu à l’aller puis face à la Centrafrique qu’ils ont déjà gagnée à l’extérieur.
Finalement, les Mourabitounes ont mal géré leurs deux dernières rencontres face aux mêmes adversaires. D’abord à Nouakchott, il y a une semaine où ils ont largement dominé le matche avant de relâcher, faisant apparaître de sérieux problèmes physiques. Ils se feront par la suite rejoindre au score allant même jusqu’à être menacés de défaite. A Bujumbura dimanche, l’équipe était méconnaissable. Et le score serait même plus lourd n’eût été la maladresse des locaux.
La faute sans doute à l’excès de confiance,au manque de condition physique mais surtout à l’indiscipline qui envahit désormais les rangs du Onze géré de manière un peu trop laxiste par son encadrement. Manifestement, l’équipe vit encore sous les auspices de son passé récent qui l’a conduit à la dernière CAN. Trop de bruits et trop de folklore autour de l’équipe qui vit au rythme de son président ; expert en matière du "m’as-t—vu ?"
Le plus inquiétant, c’est que les Mauritaniens ont été défaits par une sélection qui est restée longtemps sans entraînement et qui n’a recruté un technicien que la semaine dernière.
Pourvu seulement que l’on ait pas mis la charrue avant les bœufs en nous proclamant d’avance qualifiés pour la prochaine CAN alors que du chemin reste encore à parcourir.
C.A
Les Mourabitoune peuvent toutefois se conforter en ayant leur destin en main. Il leur reste 2 rencontres à Nouakchott au sortir desquelles il leur suffira un maximum de 4 points pour assurer leur qualification. Ce sera en mars prochain face au Maroc d’abord après le match nul qu’ils ont obtenu à l’aller puis face à la Centrafrique qu’ils ont déjà gagnée à l’extérieur.
Finalement, les Mourabitounes ont mal géré leurs deux dernières rencontres face aux mêmes adversaires. D’abord à Nouakchott, il y a une semaine où ils ont largement dominé le matche avant de relâcher, faisant apparaître de sérieux problèmes physiques. Ils se feront par la suite rejoindre au score allant même jusqu’à être menacés de défaite. A Bujumbura dimanche, l’équipe était méconnaissable. Et le score serait même plus lourd n’eût été la maladresse des locaux.
La faute sans doute à l’excès de confiance,au manque de condition physique mais surtout à l’indiscipline qui envahit désormais les rangs du Onze géré de manière un peu trop laxiste par son encadrement. Manifestement, l’équipe vit encore sous les auspices de son passé récent qui l’a conduit à la dernière CAN. Trop de bruits et trop de folklore autour de l’équipe qui vit au rythme de son président ; expert en matière du "m’as-t—vu ?"
Le plus inquiétant, c’est que les Mauritaniens ont été défaits par une sélection qui est restée longtemps sans entraînement et qui n’a recruté un technicien que la semaine dernière.
Pourvu seulement que l’on ait pas mis la charrue avant les bœufs en nous proclamant d’avance qualifiés pour la prochaine CAN alors que du chemin reste encore à parcourir.
C.A