Un atelier de réflexion sur les perspectives des coûts forfaitaires de la santé obstétricale a été organisé, mardi, par le Programme National de Santé Reproductive du Ministère de la Santé, en coopération avec l'Agence Française de Développement.
L'atelier visait à examiner les forces et les faiblesses du système des coûts des soins liés à la grossesse, en augmentant le coût forfaitaire aux fins de réduire la mortalité maternelle et néonatale. Cette expérience a débuté dans trois provinces en 2012 pour être élargie à 180 structures sanitaires dans quarante moughataas du pays.
Le Secrétaire général du Ministère de la santé, M. Ahmed Ould Dje, a indiqué que la mortalité maternelle et néonatale constituait une préoccupation nationale et internationale majeure et que les coûts sanitaires constituaient le premier déterminant de la pauvreté mondiale pour les couches sociales fragiles, et un moyen d'éliminer les obstacles financiers.
A cet égard, il a expliqué que selon les directives du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, le gouvernement du Premier Ministre, M. Yahya Ould Hademine, œuvre depuis 2002 à la mise en place d'un programme économique pour le coût de la grossesse dans trois centres de santé à Nouakchott grâce à des programmes mis en œuvre par le ministère de la Santé en coopération avec les partenaires au développement, en particulier l'Agence française de développement.
Le Secrétaire général a souligné que notre pays a adopté un programme économique pour la grossesse, à un coût très bas, à la mesure des franges fragiles, de sorte que le programme adopte le principe de l'entraide entre les membres.
M. Ahmed Ould Dje a déclaré que le système des coûts forfaitaires a fonctionné pendant plus de 17 ans dans plus de 40 Moughataas du pays et dans plus de 180 établissements de santé
Pour sa part, le chef du département de la santé à l'Agence française de développement à Nouakchott a déclaré que son institution était la première à développer un tel programme pour la grossesse.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence des secrétaires généraux des ministères de l’Economie et des Finances, et des Affaires sociale, de l’Enfance et de la Famille.
source AMI
L'atelier visait à examiner les forces et les faiblesses du système des coûts des soins liés à la grossesse, en augmentant le coût forfaitaire aux fins de réduire la mortalité maternelle et néonatale. Cette expérience a débuté dans trois provinces en 2012 pour être élargie à 180 structures sanitaires dans quarante moughataas du pays.
Le Secrétaire général du Ministère de la santé, M. Ahmed Ould Dje, a indiqué que la mortalité maternelle et néonatale constituait une préoccupation nationale et internationale majeure et que les coûts sanitaires constituaient le premier déterminant de la pauvreté mondiale pour les couches sociales fragiles, et un moyen d'éliminer les obstacles financiers.
A cet égard, il a expliqué que selon les directives du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, le gouvernement du Premier Ministre, M. Yahya Ould Hademine, œuvre depuis 2002 à la mise en place d'un programme économique pour le coût de la grossesse dans trois centres de santé à Nouakchott grâce à des programmes mis en œuvre par le ministère de la Santé en coopération avec les partenaires au développement, en particulier l'Agence française de développement.
Le Secrétaire général a souligné que notre pays a adopté un programme économique pour la grossesse, à un coût très bas, à la mesure des franges fragiles, de sorte que le programme adopte le principe de l'entraide entre les membres.
M. Ahmed Ould Dje a déclaré que le système des coûts forfaitaires a fonctionné pendant plus de 17 ans dans plus de 40 Moughataas du pays et dans plus de 180 établissements de santé
Pour sa part, le chef du département de la santé à l'Agence française de développement à Nouakchott a déclaré que son institution était la première à développer un tel programme pour la grossesse.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence des secrétaires généraux des ministères de l’Economie et des Finances, et des Affaires sociale, de l’Enfance et de la Famille.
source AMI