Le Centre de formation pour la promotion féminine de Nouakchott a abrité mardi à Nouakchott le lancement des travaux d’un atelier de redynamisation de la commission nationale de lutte contre la violence basée sur le genre (VBG) organisé par le ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille.
Les participants, qui représentent divers départements ministériels ainsi que nombre d'organisations non gouvernementales, suivront, deux jours durant, des exposés sur la lutte contre la violence basée sur le genre, avec y compris le phénomène des mutilations génitales féminines (MGF) en plus d’un diagnostic de la situation actuelle des VBG en Mauritanie.
La chargée de mission au ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille, Mme Oum Gouffa Mint Amounech a, dans un mot pour la circonstance, souligné que la violence en général et celle contre la femme et la fille en particulier est une action condamnée par la Chariaa et le droit; un comportement immoral; une pratique contraire aux valeurs de la justice et de l’équité et une atteinte flagrante aux droits et à la dignité de l’Homme.
Elle a ajouté que suite à la volonté inébranlable du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz visant à jeter les bases d’un Etat de droit et à ancrer les valeurs de la justice et de l’équité, un arsenal juridique de lutte contre toutes les formes de violence contre la femme a été adopté.
Mme Oum Gouffa Mint Amounech a passé en revue l'ensemble des mesures prises par le gouvernement dans ce domaine en particulier en matière de révision des conventions internationales ; d’adoption des stratégies nationales et des lois y afférentes et leur publication ainsi que la conception des programmes de développement conformément à la stratégie de croissance accélérée et de prospérité partagée (SCAPP).
Elle a mis l’accent sur les efforts de la commission nationale de lutte contre la violence basée sur le genre en tant que mécanisme tendant à limiter la violence contre la femme, appelant tous les acteurs dans ce domaine à accompagner ces efforts pour lutter contre ce phénomène.
Auparavant, Mme Khadijetou Cheikh Lô avait, dans son mot au nom du représentant du FNUAP résident en Mauritanie, exprimé sa satisfaction pour l’intérêt majeur voué par le gouvernement mauritanien à tout ce qui porte sur la lutte contre la violence basée sur le genre.
Elle a noté que cet atelier intervient en exécution des recommandations de l’atelier organisée en 2017 à Nouakchott sur le même thème par le FNUAP portant sur les services essentiels qui doivent être présentés aux filles et aux femmes victimes des VBG.
L’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence des conseillers juridique et en charge du genre ainsi que de plusieurs cadres du ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille.
source AMI
Les participants, qui représentent divers départements ministériels ainsi que nombre d'organisations non gouvernementales, suivront, deux jours durant, des exposés sur la lutte contre la violence basée sur le genre, avec y compris le phénomène des mutilations génitales féminines (MGF) en plus d’un diagnostic de la situation actuelle des VBG en Mauritanie.
La chargée de mission au ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille, Mme Oum Gouffa Mint Amounech a, dans un mot pour la circonstance, souligné que la violence en général et celle contre la femme et la fille en particulier est une action condamnée par la Chariaa et le droit; un comportement immoral; une pratique contraire aux valeurs de la justice et de l’équité et une atteinte flagrante aux droits et à la dignité de l’Homme.
Elle a ajouté que suite à la volonté inébranlable du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz visant à jeter les bases d’un Etat de droit et à ancrer les valeurs de la justice et de l’équité, un arsenal juridique de lutte contre toutes les formes de violence contre la femme a été adopté.
Mme Oum Gouffa Mint Amounech a passé en revue l'ensemble des mesures prises par le gouvernement dans ce domaine en particulier en matière de révision des conventions internationales ; d’adoption des stratégies nationales et des lois y afférentes et leur publication ainsi que la conception des programmes de développement conformément à la stratégie de croissance accélérée et de prospérité partagée (SCAPP).
Elle a mis l’accent sur les efforts de la commission nationale de lutte contre la violence basée sur le genre en tant que mécanisme tendant à limiter la violence contre la femme, appelant tous les acteurs dans ce domaine à accompagner ces efforts pour lutter contre ce phénomène.
Auparavant, Mme Khadijetou Cheikh Lô avait, dans son mot au nom du représentant du FNUAP résident en Mauritanie, exprimé sa satisfaction pour l’intérêt majeur voué par le gouvernement mauritanien à tout ce qui porte sur la lutte contre la violence basée sur le genre.
Elle a noté que cet atelier intervient en exécution des recommandations de l’atelier organisée en 2017 à Nouakchott sur le même thème par le FNUAP portant sur les services essentiels qui doivent être présentés aux filles et aux femmes victimes des VBG.
L’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence des conseillers juridique et en charge du genre ainsi que de plusieurs cadres du ministère des affaires sociales, de l’enfance et de la famille.
source AMI