Les travaux de l’atelier de formation sur l’utilisation des laboratoires ambulants d’analyse de l’eau ont débuté mercredi à Nouakchott.
La rencontre, organisée par le ministère de l’hydraulique et de l’assainissement, en collaboration avec l’Unicef, vise la formation des directeurs régionaux sur l’utilisation des laboratoires avant la distribution de ces derniers à la fin de l’atelier aux régions pour en tirer profit dans le domaine du contrôle de la qualité de l’eau.
Ouvrant les travaux, qui déroulent sur deux jours, le secrétaire général du ministère, M. Mohamed Ould Abdallahi Salem Ould Ahmedoua a indiqué que notre pays a franchi des étapes importantes sur la voie de l'atteinte des objectifs de développement durable et poursuit son action pour suivre et améliorer les efforts tendant à faire accéder les populations aux services de l’eau potable en qualité et quantité grâce aux sages orientations du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz pour l’application desquelles veille le gouvernement du Premier ministre, M. Yahya Ould Hademine.
C’est ainsi que les statistiques menées par le département en 2015 ont montré l’existence de plus de 1400 villages équipés de systèmes AEP et 2500 villages équipés de puits modernes.
Avec le parachèvement d’un certain nombre de projets en cours comme le projet Aftout Chergui qui va approvisionner près de 500 villages en eau potable, les réseaux AEP vont dépasser les 2000,ce qui va sans doute poser de nouveaux défis non seulement pour leur gestion mais encore pour la pérennité du service.
Une telle problématique requiert de prendre les mesures appropriées pour garantir la pérennité des ressources hydriques à travers leur préservation et la protection de l’environnement.
Par railleurs la pollution des eaux, en particulier les eaux sous-terraines, ajoute le secrétaire général, n’est pas seulement dangereux pour l’environnement mais s’étend également au domaine de la santé humaine dans la mesure où l’eau est un élément essentiel à la vie de l’Homme. C’est pourquoi l’OMS soumet à des critères rigoureux l'appréciation de la qualité de l’eau.
A son tour, M. Moustapha Harouna, porte- parole de l’Unicef a loué le niveau de coopération entre son institution et le ministère de l’hydraulique et qui englobe plusieurs aspects vitaux.
Il a ajouté que l’atelier, qui est l'une autre expression de la solidité de cette coopération, va permettre de doter les participants de connaissances et d’expertises à même de leur faciliter l’utilisation de ces laboratoires pour procéder à l’analyse de l’eau et de voir dans quelle mesure cette eau est propre ou non à la consommation.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la santé, M. Ahmed Ould Dié et de plusieurs responsables du département de l’hydraulique et de l’assainissement.
source AMI
La rencontre, organisée par le ministère de l’hydraulique et de l’assainissement, en collaboration avec l’Unicef, vise la formation des directeurs régionaux sur l’utilisation des laboratoires avant la distribution de ces derniers à la fin de l’atelier aux régions pour en tirer profit dans le domaine du contrôle de la qualité de l’eau.
Ouvrant les travaux, qui déroulent sur deux jours, le secrétaire général du ministère, M. Mohamed Ould Abdallahi Salem Ould Ahmedoua a indiqué que notre pays a franchi des étapes importantes sur la voie de l'atteinte des objectifs de développement durable et poursuit son action pour suivre et améliorer les efforts tendant à faire accéder les populations aux services de l’eau potable en qualité et quantité grâce aux sages orientations du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz pour l’application desquelles veille le gouvernement du Premier ministre, M. Yahya Ould Hademine.
C’est ainsi que les statistiques menées par le département en 2015 ont montré l’existence de plus de 1400 villages équipés de systèmes AEP et 2500 villages équipés de puits modernes.
Avec le parachèvement d’un certain nombre de projets en cours comme le projet Aftout Chergui qui va approvisionner près de 500 villages en eau potable, les réseaux AEP vont dépasser les 2000,ce qui va sans doute poser de nouveaux défis non seulement pour leur gestion mais encore pour la pérennité du service.
Une telle problématique requiert de prendre les mesures appropriées pour garantir la pérennité des ressources hydriques à travers leur préservation et la protection de l’environnement.
Par railleurs la pollution des eaux, en particulier les eaux sous-terraines, ajoute le secrétaire général, n’est pas seulement dangereux pour l’environnement mais s’étend également au domaine de la santé humaine dans la mesure où l’eau est un élément essentiel à la vie de l’Homme. C’est pourquoi l’OMS soumet à des critères rigoureux l'appréciation de la qualité de l’eau.
A son tour, M. Moustapha Harouna, porte- parole de l’Unicef a loué le niveau de coopération entre son institution et le ministère de l’hydraulique et qui englobe plusieurs aspects vitaux.
Il a ajouté que l’atelier, qui est l'une autre expression de la solidité de cette coopération, va permettre de doter les participants de connaissances et d’expertises à même de leur faciliter l’utilisation de ces laboratoires pour procéder à l’analyse de l’eau et de voir dans quelle mesure cette eau est propre ou non à la consommation.
La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la santé, M. Ahmed Ould Dié et de plusieurs responsables du département de l’hydraulique et de l’assainissement.
source AMI