Plusieurs organisations de la société civile nationale craignent que le ministère de la sante tombe dans le piège des distribution des moustiquaires de l’OMVS de façon peu orthodoxe, mettant toute les instances mises en place par l’OMVS en marge de son circuit.
La Mauritanie à l’instar des autre pays membres de l’OMVS bénéficie du soutien du projet santé de L’OMVS. Ce projet envisage aider les populations du bassin du fleuve Sénégal à travers des activités d’IEC, de traitement des Maladies Tropicales Négligées et de distribution de 4 500 000 MILDA . Les organes de surveillances et de coordinations sont en premier lieu les comités nationaux de pilotage du volet santé, mis en place dans le cadre du PGIRE 2, et qui ont joué pleinement leur rôle pour assurer le suivi de la mise en œuvre des activités par les agences d’exécution communautaires sauf en Mauritanie.
Le recrutement n’a pas suivi les critères de qualité et le choix s’est fait sur le moins disant selon le tableau suivant établi le 16 juillet 2016 :
Plus d’une année après l’agence d’exécution communautaire s’est vue retiré le marché et la distribution complémentaire confiée au Programme national de lute contre le Paludisme PNLP.
Une grande opacité autour de ce sujet inquiète plusieurs organisations communautaires sur la suite de ce programme dont le perdant reste les populations vulnérables. Le PNLP et les responsables du département de la santé doivent être vigilants et œuvrer à ce que cette distribution suive les mécanismes mis en place à savoir les Comités Régionaux de Développement les Comités départementaux et les Comités de Concertations Communaux.
La cellule nationale de l’OMVS doit suivre et superviser les distributions et s’assurer des listes des bénéficiaires et de leur validation par l’ensemble des structures CRD CODEP et CCC. Seulement dans un climat d’effervescence politique la transparence doit être une revendication légitime de chaque citoyen.
A ce moment aucun communiqué expliquant cette situation n’a été rendu public pour clarifier à l’opinion publique cette situation. Aucune information n’a été communiquée pour expliquer comment le ministère de la santé va entamer cette distribution en attendant le recrutement d’une AEC.
A suivre
La Mauritanie à l’instar des autre pays membres de l’OMVS bénéficie du soutien du projet santé de L’OMVS. Ce projet envisage aider les populations du bassin du fleuve Sénégal à travers des activités d’IEC, de traitement des Maladies Tropicales Négligées et de distribution de 4 500 000 MILDA . Les organes de surveillances et de coordinations sont en premier lieu les comités nationaux de pilotage du volet santé, mis en place dans le cadre du PGIRE 2, et qui ont joué pleinement leur rôle pour assurer le suivi de la mise en œuvre des activités par les agences d’exécution communautaires sauf en Mauritanie.
Le recrutement n’a pas suivi les critères de qualité et le choix s’est fait sur le moins disant selon le tableau suivant établi le 16 juillet 2016 :
Structure | Montant |
PRAD | 522 778 415 |
RNLPVG/BAC SANTE | 805 537 044 |
SSF | 394 616 385 |
Plus d’une année après l’agence d’exécution communautaire s’est vue retiré le marché et la distribution complémentaire confiée au Programme national de lute contre le Paludisme PNLP.
Une grande opacité autour de ce sujet inquiète plusieurs organisations communautaires sur la suite de ce programme dont le perdant reste les populations vulnérables. Le PNLP et les responsables du département de la santé doivent être vigilants et œuvrer à ce que cette distribution suive les mécanismes mis en place à savoir les Comités Régionaux de Développement les Comités départementaux et les Comités de Concertations Communaux.
La cellule nationale de l’OMVS doit suivre et superviser les distributions et s’assurer des listes des bénéficiaires et de leur validation par l’ensemble des structures CRD CODEP et CCC. Seulement dans un climat d’effervescence politique la transparence doit être une revendication légitime de chaque citoyen.
A ce moment aucun communiqué expliquant cette situation n’a été rendu public pour clarifier à l’opinion publique cette situation. Aucune information n’a été communiquée pour expliquer comment le ministère de la santé va entamer cette distribution en attendant le recrutement d’une AEC.
A suivre