Politique: Saad Ould Louleid président du Ribat se barricade au siège de son parti
Le président du parti du «Ribat » proche de l’ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz est enfermé au siège de son parti devant lequel des éléments de la sécurité son en faction.
Selon les supporters du président du «Ribat », Saad Ould Louleid s’est enfermé depuis hier au siège de son parti après que les autorités aient décidé -selon leur dire- de le mettre sous scellés pour son soutien à l’activisme politique de l’ancien président, MOHAMED Ould Abdel Aziz.
Selon les proches du président du «Ribat » son état de santé serait fragile et traînerait des maladies nécessitant le suivi médical.
Ce dernier qui a fait une visite remarquée dans la capitale économique a été interdit samedi d’assister à une autre rencontre politique prévue à Rosso.
L’ancien président accuse l’actuel gouvernement de lui mettre les bâtons dans les roues et de violer les libertés politiques reconnues par la constitution du pays.
L’ex-président Aziz, rappelle-t-on, qui a gouverné le pays dix ans durant est accusé par le régime en place de détournements et abus de deniers publics accusations qu’il n’aurait pu prouver, selon Ould Abdel Aziz.
ladepeche.mr
Selon les supporters du président du «Ribat », Saad Ould Louleid s’est enfermé depuis hier au siège de son parti après que les autorités aient décidé -selon leur dire- de le mettre sous scellés pour son soutien à l’activisme politique de l’ancien président, MOHAMED Ould Abdel Aziz.
Selon les proches du président du «Ribat » son état de santé serait fragile et traînerait des maladies nécessitant le suivi médical.
Ce dernier qui a fait une visite remarquée dans la capitale économique a été interdit samedi d’assister à une autre rencontre politique prévue à Rosso.
L’ancien président accuse l’actuel gouvernement de lui mettre les bâtons dans les roues et de violer les libertés politiques reconnues par la constitution du pays.
L’ex-président Aziz, rappelle-t-on, qui a gouverné le pays dix ans durant est accusé par le régime en place de détournements et abus de deniers publics accusations qu’il n’aurait pu prouver, selon Ould Abdel Aziz.
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