Le lancement officiel de l’Unité de formation en langues nationales pour les filières « magistrature » et « administration publique », a eu lieu, jeudi, dans les locaux de l’Ecole nationale d’administration, de journalisme et de magistrature (ENAJM).
Selon le ministre de la justice, M. Mohamed Mahmoud Ould Cheikh Abdoullah Ould Boya, la création de cette unité vise à faire en sorte que le message puisse passer, entre l’administration et les citoyens dans leur diversité. Ainsi, elle permettra au juge et à l’administrateur, de s’adresser directement au citoyen dans la langue qu’il comprend le mieux.
S’agissant du choix des deux filières, le ministre a estimé que cela est dû à la sensibilité des tâches que les administrateurs et les magistrats exercent. Ces tâches nécessitent une grande attention dans le traitement des dossiers des justiciables issus d’horizons divers, a poursuivi le ministre.
Pour le ministre de la Justice, l’initiative gouvernementale vient renforcer le rôle que joue l’ENAJM, en tant qu’outil pour la formation les cadres du pays, de façon générale.
Le ministre a enfin affirmé qu’à l’ère de la civilisation moderne, il n’était pas indiqué aue l’administration et la justice soient isolés de leur environnement socioculturel. Selon lui, l’administrateur et le juge ne doivent faire qu’un avec leur environnement, et cela passe par l’appropriation des langues nationales.
De son côté, le directeur général de l’Ecole nationale d’administration, M. Mohamed Abd El Kader Ould Alada, a souligné que la mise en place de l’Unité de formation, intervient au moment où, son école œuvre à renforcer les compétences de ses étudiants, en vue de leur permettre d’être opérationnels et efficaces dans l’exercice de leurs fonctions futures.
AMI
Selon le ministre de la justice, M. Mohamed Mahmoud Ould Cheikh Abdoullah Ould Boya, la création de cette unité vise à faire en sorte que le message puisse passer, entre l’administration et les citoyens dans leur diversité. Ainsi, elle permettra au juge et à l’administrateur, de s’adresser directement au citoyen dans la langue qu’il comprend le mieux.
S’agissant du choix des deux filières, le ministre a estimé que cela est dû à la sensibilité des tâches que les administrateurs et les magistrats exercent. Ces tâches nécessitent une grande attention dans le traitement des dossiers des justiciables issus d’horizons divers, a poursuivi le ministre.
Pour le ministre de la Justice, l’initiative gouvernementale vient renforcer le rôle que joue l’ENAJM, en tant qu’outil pour la formation les cadres du pays, de façon générale.
Le ministre a enfin affirmé qu’à l’ère de la civilisation moderne, il n’était pas indiqué aue l’administration et la justice soient isolés de leur environnement socioculturel. Selon lui, l’administrateur et le juge ne doivent faire qu’un avec leur environnement, et cela passe par l’appropriation des langues nationales.
De son côté, le directeur général de l’Ecole nationale d’administration, M. Mohamed Abd El Kader Ould Alada, a souligné que la mise en place de l’Unité de formation, intervient au moment où, son école œuvre à renforcer les compétences de ses étudiants, en vue de leur permettre d’être opérationnels et efficaces dans l’exercice de leurs fonctions futures.
AMI