Les travaux d’une session de formation sur la convention du commerce international sur les espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) organisée par le ministère de l’environnement et du développement durable, en collaboration avec l’organisation mondiale du commerce (OMC) et l’organisation internationale de la protection de l’environnement, ont démarré mercredi à Nouakchott.
Cette session de trois jours a pour objectif de former une quarantaine de cadres intervenant dans les zones frontalières, dans les aéroports, les ports et les points de passage.
A cette occasion, le secrétaire général du ministère de l’environnement et du développement durable, M. Mady Ould Taleb, a indiqué que la tenue d’une telle session est un facteur militant en faveur de l’application correcte de la convention internationale sur l’interdiction de la commercialisation des espèces de faune et de flore menacées d’extinction.
Il a dit que l’adhésion de la Mauritanie à cette convention s’inscrit dans le cadre du souci du gouvernement à contribuer aux efforts internationaux visant l’organisation et le contrôle du flux d’importation et d’exportation des espèces animales, soulignant qu’il convient de protéger l’écosystème dans son ensemble.
Pour sa part, l’intervenant au nom de l’organisation internationale de la protection de l’environnement a remercié le gouvernement mauritanien et, en particulier, le ministère de l’environnement et du développement durable pour les efforts qui ont été entrepris pour organiser cette session.
Il a souligné l’importance de cette session de formation qui vise notamment à permettre aux requins de faire face aux changements climatiques et d’échapper à l’action néfaste de l’homme qui menace leur survie.
De son côté, le coordinateur national de cette convention, M. Cheikh Ould Ahmed, a déclaré à l’Agence mauritanienne d’information (AMI) que la Mauritanie a adopté des politiques dans ce domaine notamment en matière de renforcement des capacités techniques des départements concernés à travers de nombreuses sessions de formation et des stages spécialisés.
Pour rappel, la Mauritanie a adhéré à cette convention internationale de lutte contre le commerce des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) en 1992 et a édité une loi spéciale contre le commerce de ces espèces sur le territoire national avec l’appui des partenaires techniques et financiers.
La cérémonie d’ouverture de cette session s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère délégué auprès du ministre de l’économie et des finances chargé du budget et d’autres personnalités.
source AMI
Cette session de trois jours a pour objectif de former une quarantaine de cadres intervenant dans les zones frontalières, dans les aéroports, les ports et les points de passage.
A cette occasion, le secrétaire général du ministère de l’environnement et du développement durable, M. Mady Ould Taleb, a indiqué que la tenue d’une telle session est un facteur militant en faveur de l’application correcte de la convention internationale sur l’interdiction de la commercialisation des espèces de faune et de flore menacées d’extinction.
Il a dit que l’adhésion de la Mauritanie à cette convention s’inscrit dans le cadre du souci du gouvernement à contribuer aux efforts internationaux visant l’organisation et le contrôle du flux d’importation et d’exportation des espèces animales, soulignant qu’il convient de protéger l’écosystème dans son ensemble.
Pour sa part, l’intervenant au nom de l’organisation internationale de la protection de l’environnement a remercié le gouvernement mauritanien et, en particulier, le ministère de l’environnement et du développement durable pour les efforts qui ont été entrepris pour organiser cette session.
Il a souligné l’importance de cette session de formation qui vise notamment à permettre aux requins de faire face aux changements climatiques et d’échapper à l’action néfaste de l’homme qui menace leur survie.
De son côté, le coordinateur national de cette convention, M. Cheikh Ould Ahmed, a déclaré à l’Agence mauritanienne d’information (AMI) que la Mauritanie a adopté des politiques dans ce domaine notamment en matière de renforcement des capacités techniques des départements concernés à travers de nombreuses sessions de formation et des stages spécialisés.
Pour rappel, la Mauritanie a adhéré à cette convention internationale de lutte contre le commerce des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) en 1992 et a édité une loi spéciale contre le commerce de ces espèces sur le territoire national avec l’appui des partenaires techniques et financiers.
La cérémonie d’ouverture de cette session s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère délégué auprès du ministre de l’économie et des finances chargé du budget et d’autres personnalités.
source AMI