La mise en place d’un cadre juridique de lutte contre la violence et les pratiques nuisibles pour la santé des filles fait l’objet d’un atelier de formation, dont les travaux ont débuté, jeudi à Nouakchott, à l’initiative du ministère de la justice avec le concours de l’UNICEF.
L’Agenda de la rencontre, d’une durée de deux jours, prévoit des exposés théoriques sur la prévention de la violence basée sur le genre et les pratiques qui portent préjudices pour les filles.
L’Atelier a pour but de renforcer les compétences des magistrats en matière de lutte contre la violence basée sur le genre y compris les mutilations génitale féminines (MGF) et les dégâts corporels qui sont considérés une violation des droits de l’enfant et de la femme.
Supervisant l’évènement, le secrétaire général du ministère de la justice, Dr. Mohamed Ould Echrif Ahmed, a souligné que le gouvernement du Premier ministre, l’ingénieur Ismaïl Ould Bedda Ould Cheikh Sidiya, s’attèle à ancrer la justice et d’en faire une priorité de premier rang par l’exigence du respect et de l’application des textes juridiques, la formation du cadre humain en charge de leur application et leur actualisation pour les harmoniser avec les développements apportés à notre arsenal juridique.
Ces améliorations, dit-il, portent sur conventions internationales ratifiées par la Mauritanie et d’autres textes juridiques nationaux.
Au sujet des efforts que son département compte mener pour éradiquer ce phénomène, le secrétaire général a indiqué que son département est déterminé à mettre en place un mécanisme claire pour limiter la violence basée sur le genre les pratiques portants préjudices aux filles par l’activation de la cellule chargée du genre au niveau du département, une large vulgarisation à grande échelle de son arsenal juridique et un effort soutenu pour la mise en application des textes ayant trait au sujet.
Au nom de l’UNICEF, Mme Fatma Mint Soueid Ahmed, a précisé que la pratique de la violence à l’égard de la femme dans toutes ses formes y compris les MGF se répercute négativement sur sa santé reproductive et sa santé mentale, tout comme elle constitue un acte discriminatoire.
AMI
L’Agenda de la rencontre, d’une durée de deux jours, prévoit des exposés théoriques sur la prévention de la violence basée sur le genre et les pratiques qui portent préjudices pour les filles.
L’Atelier a pour but de renforcer les compétences des magistrats en matière de lutte contre la violence basée sur le genre y compris les mutilations génitale féminines (MGF) et les dégâts corporels qui sont considérés une violation des droits de l’enfant et de la femme.
Supervisant l’évènement, le secrétaire général du ministère de la justice, Dr. Mohamed Ould Echrif Ahmed, a souligné que le gouvernement du Premier ministre, l’ingénieur Ismaïl Ould Bedda Ould Cheikh Sidiya, s’attèle à ancrer la justice et d’en faire une priorité de premier rang par l’exigence du respect et de l’application des textes juridiques, la formation du cadre humain en charge de leur application et leur actualisation pour les harmoniser avec les développements apportés à notre arsenal juridique.
Ces améliorations, dit-il, portent sur conventions internationales ratifiées par la Mauritanie et d’autres textes juridiques nationaux.
Au sujet des efforts que son département compte mener pour éradiquer ce phénomène, le secrétaire général a indiqué que son département est déterminé à mettre en place un mécanisme claire pour limiter la violence basée sur le genre les pratiques portants préjudices aux filles par l’activation de la cellule chargée du genre au niveau du département, une large vulgarisation à grande échelle de son arsenal juridique et un effort soutenu pour la mise en application des textes ayant trait au sujet.
Au nom de l’UNICEF, Mme Fatma Mint Soueid Ahmed, a précisé que la pratique de la violence à l’égard de la femme dans toutes ses formes y compris les MGF se répercute négativement sur sa santé reproductive et sa santé mentale, tout comme elle constitue un acte discriminatoire.
AMI