Les employés de la Société nationale industrielle et minière ont annoncé un débrayage de 24H à partir du 1er mai .
L’annonce a été faite lors d’un meeting organisé ce week end au cinéma de la Snim les différentes centrales syndicales en présence de l’ensemble du collège des délégués du personnel. Selon certaines centrales syndicales , Si jamais l’administration ne satisfait pas a leur plate forme de revendication , la menace d’une grève générale plane avec le risque de paralyser toute la cité pour une durée illimitée.
Les délégués du personnel ont rappelé leur chapelet de points de revendication qui se résume en cinq points :
Augmentation de 10% avec un rappel à partir du 1er octobre 2014 ; Gratification de cinq salaires à la fin du mois d’avril ; Prise en charge de l’acompte de la fête du maouloud ; Prise en charge de l’économat à hauteur de 45 000 um pour tous les travailleurs ; Réintégration de neuf (09) travailleurs licenciés après la grève de 2015 et recrutement de 13 employés de la sous-traitance dont l’embauche a été suspendue par la société a la suite de la grève.
On rappelle que les travailleurs de la snim avaient observé une grève de deux mois en 2015, une première dans l’histoire de ce géant minier qui peine encore a sortir de la crise qui a affecte le secteur en 2014.
source rimeco.com
L’annonce a été faite lors d’un meeting organisé ce week end au cinéma de la Snim les différentes centrales syndicales en présence de l’ensemble du collège des délégués du personnel. Selon certaines centrales syndicales , Si jamais l’administration ne satisfait pas a leur plate forme de revendication , la menace d’une grève générale plane avec le risque de paralyser toute la cité pour une durée illimitée.
Les délégués du personnel ont rappelé leur chapelet de points de revendication qui se résume en cinq points :
Augmentation de 10% avec un rappel à partir du 1er octobre 2014 ; Gratification de cinq salaires à la fin du mois d’avril ; Prise en charge de l’acompte de la fête du maouloud ; Prise en charge de l’économat à hauteur de 45 000 um pour tous les travailleurs ; Réintégration de neuf (09) travailleurs licenciés après la grève de 2015 et recrutement de 13 employés de la sous-traitance dont l’embauche a été suspendue par la société a la suite de la grève.
On rappelle que les travailleurs de la snim avaient observé une grève de deux mois en 2015, une première dans l’histoire de ce géant minier qui peine encore a sortir de la crise qui a affecte le secteur en 2014.
source rimeco.com