Dans son rapport d’activité intérimaire, la Présidente de Groupe de travail sur les droits économiques, sociaux et culturels de la Commission africaine des droits de l’Homme et des peuples, critique aux paragraphes 44 et 45 la marchandisation de l’éducation en Mauritanie, constate-t-on à la lecture de son rapport.
Dans l’article 45 dudit rapport, on note quele Comité a exprimé ses graves inquiétudes concernant « la fermeture récente sans aucun remplacement de six écoles publiques à Nouakchott », ainsi que « la disponibilité limitée de l’éducation préscolaire et des écoles primaires, et la prolifération d’écoles privées.
Ce constat est établi sur la base d’un rapport des organisations de l’Association des Femmes Chefs de Famille (AFCF), de la Coalition des organisations mauritaniennes pour l’Education et de la Global Initiative for Economic, Social and Cultural Rights (GI-ESCR) et l’avaient soumis au Comité pour les droits de l’enfant en août 2018, concernant la croissance de la privatisation et de la commercialisation de l’éducation en Mauritanie.
http://www.achpr.org/files/sessions/64th_os/inter-act-reps/324/comm_king_64_act_report_ecosoc_eng.pd
source mauriweb.info