Le président du rassemblement des forces démocratiques, Ahmed O. Daddah, actuellement aux Etats Unis d’Amérique, a rencontré des militants et sympathisants de sa formation politique.
A l’issue de cette rencontre, le président du RFD a appelé à faire face à ce qu’il a qualifié de « mascarade de dialogue destiné à tripatouiller la constitution et dénaturer la volonté populaire ».
O. Daddah a ajouté que le pouvoir actuel œuvre par tous les moyens à perpétuer « un régime de gabegie et d’injustice » appelant à la constitution d’un front pour faire face aux menaces qui pèsent sur la constitution et sur la souveraineté de la Mauritanie autour desquelles se fait l’unanimité ».
Selon le communiqué publié par le parti, « les présents à la réunion ont été unanimes à condamner les déclarations des responsables et des applaudisseurs du pouvoir qui appellent à la possibilité d’un troisième mandat pour l’actuel président ».
On rappelle que le RFD a refusé de prendre part à tout dialogue avant la satisfaction de certains préalables dont notamment la dissolution du bataillon de la sécurité présidentielle (BASEP), la déclaration par le chef de l’état de ses biens, le respect des échéances électorales et l’engagement du président de ne pas briguer un troisième mandat.
source saharamedia
A l’issue de cette rencontre, le président du RFD a appelé à faire face à ce qu’il a qualifié de « mascarade de dialogue destiné à tripatouiller la constitution et dénaturer la volonté populaire ».
O. Daddah a ajouté que le pouvoir actuel œuvre par tous les moyens à perpétuer « un régime de gabegie et d’injustice » appelant à la constitution d’un front pour faire face aux menaces qui pèsent sur la constitution et sur la souveraineté de la Mauritanie autour desquelles se fait l’unanimité ».
Selon le communiqué publié par le parti, « les présents à la réunion ont été unanimes à condamner les déclarations des responsables et des applaudisseurs du pouvoir qui appellent à la possibilité d’un troisième mandat pour l’actuel président ».
On rappelle que le RFD a refusé de prendre part à tout dialogue avant la satisfaction de certains préalables dont notamment la dissolution du bataillon de la sécurité présidentielle (BASEP), la déclaration par le chef de l’état de ses biens, le respect des échéances électorales et l’engagement du président de ne pas briguer un troisième mandat.
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