Le ministre de la culture, de l’artisanat et des relations avec le parlement, Dr Sidi Mohamed Ould Ghaber a exhorté les unions, associations opérant dans le secteur de l’artisanat à contribuer efficacement à créer un artisanat apte à être compétitif au plan international.
Le ministre a réaffirmé l’importance de ce secteur et sa capacité à créer une transformation radicale en répondant aux besoins des citoyens à travers une production innovante et créatrice des professionnels de ce noble métier comme c’était le cas dans le passé.
Il a ajouté, dans une réunion tenue jeudi avec les artisans, que les possibilités matérielles, les plans, études et tous les efforts seront orientés pour assurer l’essor de ce sous- secteur, notant que le ministère a présenté un projet de création d’une usine de traitement des peaux et cuir et s’attellera à réaliser une exposition de l’artisanat traditionnel, ouvrir des opportunités de formation pour ceux qui veulent promouvoir leurs capacités et développer, ce faisant, le secteur de l’artisanat.
Les intervenants ont été unanimes pour dire que la rencontre a permis de discuter de leurs problèmes et des obstacles entravant leur action et encouragé en eux l’espoir de créer un bond en avant qualitatif au niveau de ce secteur vital.
Ils ont insisté sur la nécessité de réviser l’arsenal juridique (lois, décrets d’application) régissant l’artisanat pour que les acteurs de ce secteur puissent bien être édifiés sur leurs droits et leurs devoirs, soulignant au passage l’intérêt de préserver ce patrimoine de l’extinction qui le menace faute de personnalités qui le gardent pour le transmettre aux générations montantes.
La réunion s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la culture, de l’artisanat et des relations avec le parlement, Dr Ahmed Ould Bah Ould Sid Ahmed et de la conseillère chargée de l’artisanat, Mme Houriya Mint Moulaye Idriss.
AMI
Le ministre a réaffirmé l’importance de ce secteur et sa capacité à créer une transformation radicale en répondant aux besoins des citoyens à travers une production innovante et créatrice des professionnels de ce noble métier comme c’était le cas dans le passé.
Il a ajouté, dans une réunion tenue jeudi avec les artisans, que les possibilités matérielles, les plans, études et tous les efforts seront orientés pour assurer l’essor de ce sous- secteur, notant que le ministère a présenté un projet de création d’une usine de traitement des peaux et cuir et s’attellera à réaliser une exposition de l’artisanat traditionnel, ouvrir des opportunités de formation pour ceux qui veulent promouvoir leurs capacités et développer, ce faisant, le secteur de l’artisanat.
Les intervenants ont été unanimes pour dire que la rencontre a permis de discuter de leurs problèmes et des obstacles entravant leur action et encouragé en eux l’espoir de créer un bond en avant qualitatif au niveau de ce secteur vital.
Ils ont insisté sur la nécessité de réviser l’arsenal juridique (lois, décrets d’application) régissant l’artisanat pour que les acteurs de ce secteur puissent bien être édifiés sur leurs droits et leurs devoirs, soulignant au passage l’intérêt de préserver ce patrimoine de l’extinction qui le menace faute de personnalités qui le gardent pour le transmettre aux générations montantes.
La réunion s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la culture, de l’artisanat et des relations avec le parlement, Dr Ahmed Ould Bah Ould Sid Ahmed et de la conseillère chargée de l’artisanat, Mme Houriya Mint Moulaye Idriss.
AMI