Le Mécanisme national de lutte contre la torture en Mauritanie a commémoré, mercredi à Nouakchott, la journée mondiale contre la torture qui coïncide avec le 26 juin de chaque année.
Le mécanisme a organisé, en collaboration avec la coopération allemande (GIZ) à Nouakchott, pour la circonstance, un atelier qui a permis de passer en revue les objectifs généraux du mécanisme et de faire différentes interventions portant sur la convention de lutte contre la torture et la loi 2015/033 incriminant toutes les formes de torture et de mettre en relief les missions assignées au mécanisme dans le domaine du renforcement des droits de l'homme.
Dans un mot prononcé pour la circonstance, Dr Mohamed Lemine Ould Haless, président du mécanisme, a salué, dans un mot prononcé pour la circonstance, les progrès réalisés par la Mauritanie au cours des dernières années sur la voie de la promotion des droits de l'homme, à leur tête la création du mécanisme national de lutte contre la torture.
Il a ajouré que la création du mécanisme a été accompagnée par plusieurs dispositions fondamentales dans le domaine des droits de l'homme en général et la prévention de la torture en particulier, citant parmi ces dispositions l'interdiction dans la constitution de la torture qui est considérée dans cette loi fondamentale comme étant un crime contre l'humanité ainsi l'indépendance et l'immunité dont jouissent les membres du mécanisme contre toute poursuite à leur encontre.
Il a aussi cité parmi les dispositions prises, les moyens matériels et les ressources humaines rendus disponibles
pour permettre au mécanisme de mener à bien sa mission et d'accéder à tous les centres de détention pour s'informer sur leur situation et celle des personnes qu'ils renferment, en plus de l'attention et du sérieux accordés aux propositions et recommandations issues du mécanisme.
Dr Mohamed Lemine Ould Haless a souligné que l'atelier organisé par le mécanisme a pour but de tirer profit des expériences de certains experts sur divers sujets relatifs à la convention internationale de lutte contre la torture et son protocole facultatif. Il abordera en outre, a-t-il dit, les lois nationales s'y rapportant comme la loi créant le mécanisme et la loi sur la lutte contre la torture.
Auparavant, la coordinatrice du projet Promotion des droits de l'homme et dialogue sur les droits humains à la GIZ, Mme Heike Daume s'est dite persuadée que les présentations sur les dispositions de la convention internationale de lutte contre la torture et celles relatives à sa mise en oeuvre au niveau national objet du présent atelier viendront conforter les acquis importants déjà obtenus.
Elle s'est aussi dite convaincue que les participants saisiront cette opportunité pour s'approprier davantage la notion de lutte contre la torture et ses implications au niveau national et international, et ce en s'enrichissant mutuellement à travers un échange d'expérience.
La cérémonie d'ouverture de l'atelier s'est déroulée en présence du commissaire aux droits de l'homme, à l'action humanitaire et aux relations avec la société civile, M. Mohamed Lemine Ould Sidi , du procureur général près la cour suprême et d'autres personnalités.
AMI
Le mécanisme a organisé, en collaboration avec la coopération allemande (GIZ) à Nouakchott, pour la circonstance, un atelier qui a permis de passer en revue les objectifs généraux du mécanisme et de faire différentes interventions portant sur la convention de lutte contre la torture et la loi 2015/033 incriminant toutes les formes de torture et de mettre en relief les missions assignées au mécanisme dans le domaine du renforcement des droits de l'homme.
Dans un mot prononcé pour la circonstance, Dr Mohamed Lemine Ould Haless, président du mécanisme, a salué, dans un mot prononcé pour la circonstance, les progrès réalisés par la Mauritanie au cours des dernières années sur la voie de la promotion des droits de l'homme, à leur tête la création du mécanisme national de lutte contre la torture.
Il a ajouré que la création du mécanisme a été accompagnée par plusieurs dispositions fondamentales dans le domaine des droits de l'homme en général et la prévention de la torture en particulier, citant parmi ces dispositions l'interdiction dans la constitution de la torture qui est considérée dans cette loi fondamentale comme étant un crime contre l'humanité ainsi l'indépendance et l'immunité dont jouissent les membres du mécanisme contre toute poursuite à leur encontre.
Il a aussi cité parmi les dispositions prises, les moyens matériels et les ressources humaines rendus disponibles
pour permettre au mécanisme de mener à bien sa mission et d'accéder à tous les centres de détention pour s'informer sur leur situation et celle des personnes qu'ils renferment, en plus de l'attention et du sérieux accordés aux propositions et recommandations issues du mécanisme.
Dr Mohamed Lemine Ould Haless a souligné que l'atelier organisé par le mécanisme a pour but de tirer profit des expériences de certains experts sur divers sujets relatifs à la convention internationale de lutte contre la torture et son protocole facultatif. Il abordera en outre, a-t-il dit, les lois nationales s'y rapportant comme la loi créant le mécanisme et la loi sur la lutte contre la torture.
Auparavant, la coordinatrice du projet Promotion des droits de l'homme et dialogue sur les droits humains à la GIZ, Mme Heike Daume s'est dite persuadée que les présentations sur les dispositions de la convention internationale de lutte contre la torture et celles relatives à sa mise en oeuvre au niveau national objet du présent atelier viendront conforter les acquis importants déjà obtenus.
Elle s'est aussi dite convaincue que les participants saisiront cette opportunité pour s'approprier davantage la notion de lutte contre la torture et ses implications au niveau national et international, et ce en s'enrichissant mutuellement à travers un échange d'expérience.
La cérémonie d'ouverture de l'atelier s'est déroulée en présence du commissaire aux droits de l'homme, à l'action humanitaire et aux relations avec la société civile, M. Mohamed Lemine Ould Sidi , du procureur général près la cour suprême et d'autres personnalités.
AMI