L'institution de l’opposition démocratique en Mauritanie a invité toutes les parties politiques à engager d’urgence, un dialogue politique inclusif à même de permettre la création d’un état d’institutions et consacrer l’alternance politique au pouvoir.
Dans une conférence de presse tenue mercredi, le président de l’institution Ismael O. Mohamed a dit que la crise politique s’est corsée entre les différents acteurs politiques, accusant le pouvoir d’être responsable de l’échec pour n’avoir pas voulu, selon lui, organiser un dialogue sérieux capable d’amener le pays à bon port.
Il a appelé l’opposition à faire table rase de ses divergences et à travailler fortement pour faire de l’année 2019 une année charnière dans l’histoire de la démocratie dans le pays.
L’institution a demandé à ce que tous les acteurs politiques soient associés à la mise en place d’une stratégie qui garantit la consolidation de l’unité nationale, une véritable symbiose entre les composantes du peuple mauritanien et l’instauration de politiques fermes pour améliorer les situations économiques et sociales des citoyens à travers une baisse des prix.
En marge de cette conférence de presse, il a été distribué un document qui évoque, vu du côté de l’opposition, les situations politique, économique sociale et sécuritaire, la réalité des libertés dans le pays, la gouvernance et la lutte contre la corruption.
Le document appelle à la mise en place de mécanismes efficaces pour la lutte contre le chômage et l’augmentation des subventions octroyées à la presse indépendante, les partis politiques et l’institution de l’opposition démocratique.
Il souligne la nécessité d’une révision les mécanismes de justice dans le pays, à rétablir dans leurs droits les fonctionnaires licenciés arbitrairement des institutions de l’état et de faire la lumière sur les disparitions du journaliste Ishak O. El Moctar et l’homme d’affaires Rachid Moustapha.
Le communiqué demande par ailleurs de faciliter aux citoyens l’accès aux services de l’état civil de même que les opérations artisanales de prospections aurifères pratiquées par bon nombre de personnes dans le pays.
Source Saharamedias.net
Dans une conférence de presse tenue mercredi, le président de l’institution Ismael O. Mohamed a dit que la crise politique s’est corsée entre les différents acteurs politiques, accusant le pouvoir d’être responsable de l’échec pour n’avoir pas voulu, selon lui, organiser un dialogue sérieux capable d’amener le pays à bon port.
Il a appelé l’opposition à faire table rase de ses divergences et à travailler fortement pour faire de l’année 2019 une année charnière dans l’histoire de la démocratie dans le pays.
L’institution a demandé à ce que tous les acteurs politiques soient associés à la mise en place d’une stratégie qui garantit la consolidation de l’unité nationale, une véritable symbiose entre les composantes du peuple mauritanien et l’instauration de politiques fermes pour améliorer les situations économiques et sociales des citoyens à travers une baisse des prix.
En marge de cette conférence de presse, il a été distribué un document qui évoque, vu du côté de l’opposition, les situations politique, économique sociale et sécuritaire, la réalité des libertés dans le pays, la gouvernance et la lutte contre la corruption.
Le document appelle à la mise en place de mécanismes efficaces pour la lutte contre le chômage et l’augmentation des subventions octroyées à la presse indépendante, les partis politiques et l’institution de l’opposition démocratique.
Il souligne la nécessité d’une révision les mécanismes de justice dans le pays, à rétablir dans leurs droits les fonctionnaires licenciés arbitrairement des institutions de l’état et de faire la lumière sur les disparitions du journaliste Ishak O. El Moctar et l’homme d’affaires Rachid Moustapha.
Le communiqué demande par ailleurs de faciliter aux citoyens l’accès aux services de l’état civil de même que les opérations artisanales de prospections aurifères pratiquées par bon nombre de personnes dans le pays.
Source Saharamedias.net