Le directeur de l'hôpital des cardiologie de Nouakchott, Ahmed Ould Abba Walati, a indiqué, mardi, dans une déclaration de presse, parvenue à Alakhbar, que l'état de santé de l'ex-président Mohamed Ould Abdel Aziz est stable.
La sortie du médecin est intervenue 24 heures après un communiqué de la fille de l'ex-président, Asmaa Abdel Aziz, évoquant la « détérioration » de la santé de son père "depuis son arrestation et sa détention".
Ahmed Ould Abba Walati a qualifié les informations parlant de détérioration de la santé de l’ex-président de "propagande malveillante".
"Je refuse qu’on remette en cause mon travail, de dire du mal sur moi et d'abuser de ma profession de façon explicite ou implicite", a-t-il ajouté.
Il a indiqué que ce qui l'intéresse en tant que médecin est de "veiller sur la santé du patient. Je ne suis pas concerné par son statut juridique".
Mohamed Ould Abdel Aziz est en détention depuis l’ouverture de son procès le 25 janvier dernier devant la Cour spécialisée dans la lutte contre la corruption.
L’ex-chef de l’État et 10 autres personnes, dont ses parents et anciens ministres, sont jugés pour abus de fonction, blanchiment d’argent, trafic d’influence et autres, pendant qu’il était à la tête du pays de 2008 a 2019
Alakhbar
La sortie du médecin est intervenue 24 heures après un communiqué de la fille de l'ex-président, Asmaa Abdel Aziz, évoquant la « détérioration » de la santé de son père "depuis son arrestation et sa détention".
Ahmed Ould Abba Walati a qualifié les informations parlant de détérioration de la santé de l’ex-président de "propagande malveillante".
"Je refuse qu’on remette en cause mon travail, de dire du mal sur moi et d'abuser de ma profession de façon explicite ou implicite", a-t-il ajouté.
Il a indiqué que ce qui l'intéresse en tant que médecin est de "veiller sur la santé du patient. Je ne suis pas concerné par son statut juridique".
Mohamed Ould Abdel Aziz est en détention depuis l’ouverture de son procès le 25 janvier dernier devant la Cour spécialisée dans la lutte contre la corruption.
L’ex-chef de l’État et 10 autres personnes, dont ses parents et anciens ministres, sont jugés pour abus de fonction, blanchiment d’argent, trafic d’influence et autres, pendant qu’il était à la tête du pays de 2008 a 2019
Alakhbar