L’organisation de défense des droits humains, Front Line Defenders se dit « profondément préoccupée par le maintien en détention de Biram Dah Abeid ainsi que par la violente répression des défenseurs des droits humains qui exercent leur droit de manifester pacifiquement pour appeler à sa libération».
Lundi dernier ( 8 octobre 2018), douze membres de l'IRA-Mauritanie ont été passés à tabac par la police anti-émeute, lors d'un sit-invpacifique en faveur de Biram Dah Abeid, devant l'Assemblée nationale mauritanienne. Les douze membres, dont la femme de Biram Dah Abeid qui participait à la manifestation, ont été conduits à l'hôpital national, car trois d'entre eux ont été violemment chargés et souffrent de multiples fractures. Le sit-in appelait à la libération de Biram Dah Abeid et coïncidait avec la première session de l'Assemblée nationale mauritanienne. Les membres d'IRA-Mauritanie avaient organisé la manifestation pour attirer l'attention sur le maintien en détention de Biram Dah Abeid et pour faire pression sur le gouvernement afin qu'il le libère. Après une marche non violente vers l'Assemblée nationale,bles membres de l'organisation ont organisé un sit-in pacifique devant le bâtiment.
À leur arrivée à l'Assemblée nationale, des unités de la police se sont rapidement approchées des membres d'IRA Mauritanie en brandissant des armes afin de les disperser. Selon des défenseurs locaux des droits de l'homme, la police était lourdement armée et n'a pas cherché à disperser le sit-in de façon pacifique avant d'employer la violence.
Les participants ont été frappés à la tête, au torse, aux membres et la police a utilisé une substance semblable à du gaz pour disperser la foule.
Arrêté, le 7 août 2018 à Nouakchott, Biram Dah Abeid a été mis en examen 13 août 2018 pour "'incitation à la violence et menaces portées sur la vie des personnes" par le tribunal de Wilaya de Nouakchott-Sud.
Front Line Defenders a pour objectif de « protéger les défenseur-sesndes droits humains en danger, c’est-à-dire les personnes qui agissent de façon non violente pour que soient respectés un ou plusieurs droits garantis par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Front Line Defenders vise à subvenir aux besoins identifiés par les défenseurs eux-mêmes en matière de protection ».
L’organisation de défense des droits humains, Front Line Defenders se dit « profondément préoccupée par le maintien en détention de Biram Dah Abeid ainsi que par la violente répression des défenseurs des droits humains qui exercent leur droit de manifester pacifiquement pour appeler à sa libération».
Lundi dernier ( 8 octobre 2018), douze membres de l'IRA-Mauritanie ont été passés à tabac par la police anti-émeute, lors d'un sit-invpacifique en faveur de Biram Dah Abeid, devant l'Assemblée nationale mauritanienne. Les douze membres, dont la femme de Biram Dah Abeid qui participait à la manifestation, ont été conduits à l'hôpital national, car trois d'entre eux ont été violemment chargés et souffrent de multiples fractures. Le sit-in appelait à la libération de Biram Dah Abeid et coïncidait avec la première session de l'Assemblée nationale mauritanienne. Les membres d'IRA-Mauritanie avaient organisé la manifestation pour attirer l'attention sur le maintien en détention de Biram Dah Abeid et pour faire pression sur le gouvernement afin qu'il le libère. Après une marche non violente vers l'Assemblée nationale, les membres de l'organisation ont organisé un sit-in pacifique devant le bâtiment.
À leur arrivée à l'Assemblée nationale, des unités de la police se sont rapidement approchées des membres d'IRA Mauritanie en brandissant des armes afin de les disperser. Selon des défenseurs locaux des droits de l'homme, la police était lourdement armée et n'a pas cherché à disperser le sit-in de façon pacifique avant d'employer la violence.
Les participants ont été frappés à la tête, au torse, aux membres et la police a utilisé une substance semblable à du gaz pour disperser la foule.
Arrêté, le 7 août 2018 à Nouakchott, Biram Dah Abeid a été mis en examen 13 août 2018 pour "'incitation à la violence et menaces portées sur la vie des personnes" par le tribunal de Wilaya de Nouakchott-Sud.
Front Line Defenders a pour objectif de « protéger les défenseur-ses des droits humains en danger, c’est-à-dire les personnes qui agissent de façon non violente pour que soient respectés un ou plusieurs droits garantis par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Front Line Defenders vise à subvenir aux besoins identifiés par les défenseurs eux-mêmes en matière de protection ».
source lecalame.info