’’Évaluer les festivals des villes anciennes’’, tel est l’objectif d’un atelier, organisé par le ministère de la culture, de l’artisanat et des relations avec le parlement, dont les travaux ont débuté, mardi à Nouakchott, sur le thème : le festival des anciennes villes, un acquis national à préserver.
Le programme de la rencontre prévoit l’exposition d’un film documentaire qui retrace l’historique de cette manifestation culturelle annuelle dont la première édition remonte à 2011, à partir de la Cité de Chinguetti.
S’exprimant pour la circonstance, le ministre de la culture, de l’artisanat et des relations avec le parlement, porte-parole du gouvernement, Me. Sidi Mohamed Ould Maham, a précisé que la première édition de ces festivals avait débuté à un moment où les cités historiques étaient menacées d’être totalement effacées de la liste du patrimoine mondial.
Il a ajouté que la décision du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, d’organiser ces festivals a permis la revalorisation de ces villes après tant d’années d’exclusion et de léthargie.
Au sujet de l’impact des festivals, le ministre a indiqué que les résultats escomptés ont été atteints, notant que des infrastructures ont été réalisées, des villas reconstruits et des activités porteuses de revenu créés pour fixer les habitants au terroir.
Parlant de revitalisation du patrimoine, le ministre a précisé qu’il a connu, lui aussi, un développement, à travers l’entretien et la préservation des manuscrits rares dans le monde et la création de l’engouement chez les populations locales pour tout ce qui a trait à la culture.
Le ministre a enfin exhorté les participants à faire une lecture critique et objective des festivals des villes anciennes et proposer des solutions permettant de surmonter les contraintes constatées lors des précédentes sessions de ces festivals.
Quant au directeur de la fondation nationale pour la sauvegarde des villes anciennes, M. Mohamed Adnane Ould Beyrouk, il a salué la contribution remarquable des membres du comité technique ayant en charge la supervision des festivités du festival national des villes anciennes.
L’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence des députés des villes anciennes.
AMI
Le programme de la rencontre prévoit l’exposition d’un film documentaire qui retrace l’historique de cette manifestation culturelle annuelle dont la première édition remonte à 2011, à partir de la Cité de Chinguetti.
S’exprimant pour la circonstance, le ministre de la culture, de l’artisanat et des relations avec le parlement, porte-parole du gouvernement, Me. Sidi Mohamed Ould Maham, a précisé que la première édition de ces festivals avait débuté à un moment où les cités historiques étaient menacées d’être totalement effacées de la liste du patrimoine mondial.
Il a ajouté que la décision du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, d’organiser ces festivals a permis la revalorisation de ces villes après tant d’années d’exclusion et de léthargie.
Au sujet de l’impact des festivals, le ministre a indiqué que les résultats escomptés ont été atteints, notant que des infrastructures ont été réalisées, des villas reconstruits et des activités porteuses de revenu créés pour fixer les habitants au terroir.
Parlant de revitalisation du patrimoine, le ministre a précisé qu’il a connu, lui aussi, un développement, à travers l’entretien et la préservation des manuscrits rares dans le monde et la création de l’engouement chez les populations locales pour tout ce qui a trait à la culture.
Le ministre a enfin exhorté les participants à faire une lecture critique et objective des festivals des villes anciennes et proposer des solutions permettant de surmonter les contraintes constatées lors des précédentes sessions de ces festivals.
Quant au directeur de la fondation nationale pour la sauvegarde des villes anciennes, M. Mohamed Adnane Ould Beyrouk, il a salué la contribution remarquable des membres du comité technique ayant en charge la supervision des festivités du festival national des villes anciennes.
L’ouverture de l’atelier s’est déroulée en présence des députés des villes anciennes.
AMI