Selon des sources spéciales citées par le site Zahrat Chinguitt, la police s'apprête à transférer le dossier de l'ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz et de ses anciens collaborateurs impliqués comme lui dans le dossier de la corruption au parquet général le mardi ou au plus tard le mercredi prochains. Selon les mêmes sources, le dossier est prêt et le parquet devrait commencer à convoquer ceux qui y sont inclus dès la réception du dossier préparé par la police après quatre mois de discussions et d'auditions des personnes citées dans le rapport de la commission d'enquête parlementaire.
Le président Mohamed Ould Abdel Aziz avait refusé de collaborer avec les enquêteurs lors de l'enquête préliminaire puis il a de nouveau refusé de procéder à la signature des procès-verbaux continuant à se prévaloir d'une immunité constitutionnelle que lui confère, selon lui et ses avocats, les dispositions de l'article 93 de la Constitution. Certains cercles du pouvoir actuel accusent l'ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz et certains de ses collaborateurs et proches d'être auteurs de vastes opérations de gabegie ayant touché à tous les secteurs de la vie et permis à ces personnes de détourner plusieurs centaines de milliards d'anciennes ouguiyas.
De son côté, l'ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz et ses avocats estiment qu'il s'agit tout simplement de quelques règlements politiques dont les commanditaires ont manipulé le parlement à travers la formation d'une commission d'enquête parlementaire qui n'a aucune légitimité. Le président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani avait déclaré à plusieurs occasions qu'il n'interferera pas dans le travail de la justice. Plusieurs responsables ayant occupé des fonctions au cours de la dernière décennie et ayant été cités par le rapport de la CEP ont été relevés pour leur permettre d'aller se faire blanchir.
Le cas échéant, comme l'a dit un communiqué de la présidence, le président pourrait leur renouveler sa confiance. Parmi les mesures qui font douter et grincer les dents de certains, le maintien aux affaires de l'actuel administrateur directeur général de la SNIM Moktar Ould Diay et le rappel du Secrétaire général du gouvernement Dia Malal qui sont tous les deux cités dans le rapport de la commission d'enquête parlementaire.
lecalame
Le président Mohamed Ould Abdel Aziz avait refusé de collaborer avec les enquêteurs lors de l'enquête préliminaire puis il a de nouveau refusé de procéder à la signature des procès-verbaux continuant à se prévaloir d'une immunité constitutionnelle que lui confère, selon lui et ses avocats, les dispositions de l'article 93 de la Constitution. Certains cercles du pouvoir actuel accusent l'ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz et certains de ses collaborateurs et proches d'être auteurs de vastes opérations de gabegie ayant touché à tous les secteurs de la vie et permis à ces personnes de détourner plusieurs centaines de milliards d'anciennes ouguiyas.
De son côté, l'ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz et ses avocats estiment qu'il s'agit tout simplement de quelques règlements politiques dont les commanditaires ont manipulé le parlement à travers la formation d'une commission d'enquête parlementaire qui n'a aucune légitimité. Le président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani avait déclaré à plusieurs occasions qu'il n'interferera pas dans le travail de la justice. Plusieurs responsables ayant occupé des fonctions au cours de la dernière décennie et ayant été cités par le rapport de la CEP ont été relevés pour leur permettre d'aller se faire blanchir.
Le cas échéant, comme l'a dit un communiqué de la présidence, le président pourrait leur renouveler sa confiance. Parmi les mesures qui font douter et grincer les dents de certains, le maintien aux affaires de l'actuel administrateur directeur général de la SNIM Moktar Ould Diay et le rappel du Secrétaire général du gouvernement Dia Malal qui sont tous les deux cités dans le rapport de la commission d'enquête parlementaire.
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