« Est-ce qu’il n’y a pas de possibilité d’accélérer le processus de clarification ? Est-ce qu’il n’y pas de possibilité de suspendre les poursuites surtout au vu de l’état de santé de Biram. Est-ce qu’il n’y a pas une solution "élégante" tout en respectant la loi mauritanienne ? Je ne suis pas juge. Mais ce sont des questions que les observateurs des droits de l’homme en Allemagne et dans l’Union européenne posent à mon gouvernement lequel me demande de trouver les réponses », s'est-elle interrogée.
« Je répète que je ne suis pas le juge. Mais je suis sûre qu’on pourra trouver une solution honorable et souveraine. Il dépendra de la volonté de toutes les parties ainsi que de la coopération de la part de l’intéressé qui souffre des conditions carcérales. Ce sera dans l’intérêt de la Mauritanie de trouver une sortie de l’affaire tout en attirant plus de respect et d’attention positive internationale », a indiqué la diplomate.
source ALAKHBAR